Maître Corbeau, sur son arbre ché-pere, tenait en son bec un Pro-Zak. Il l'avala et mourut sur le champ car il n'y avait pas assez de place pour deux sujets dans cette chronique. On se voit donc dans l'obligation ici de parler d'un album pour animer un peu vos soirées de larves névrosées. Il y en aura pour tout le monde : du dub pour vos amis les plus fatigués et de la house pour les plus ... djouls. Une fois le vinyle disposé avec grace et légèreté (deux copines), le double effet Pro-Zak Trax fait action : pétage de neurones intensif pour une montée sympathique au nirvana des gobeurs de sons, trip étriqué pour trippante trainée de grelots grelottant gravement les graves pendant que les pendules perdurent sur des sons susurrés de mille merveilles... groseille et banane hachée... tout est beau et bétâ, ébahi je suis sur les turpitudes vinylesques d'Alëem qui m'aura bien éclaté quand même!
Note si, si, m'a éclaté : (Tiff)
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