Freestylers : «We rock hard»
Label : Freskanova/Mammoth
Distributeur : P.I.A.S.
Date d'enregistrement : 1999

Celui-là est sorti il y a plus d'un an, mais bon, vu que la maison de disques n'avait pas jugé bon de nous l'envoyer, et qu'il déchire quand même pas mal, nous avons finalement mis la main dessus sur le net pour un couple de dollars. À première écoute, oui car c'est vrai d'habitude on dit "à première vue", mais vu (justement) que là il s'agit d'un piti CD à insérer dans les neurones à travers les tympans, on se permettra à loisir de parler (ou plutôt écrire) comme bon nous semble. À première écoute, donc, on ne comprend pas trop l'intérêt de l'album. Les titres sont longs, répétitifs, voire assomants, fatiguants. La fin de l'album arrive et non!!! On en est à peine aux deux/tiers... dur. Et oui nous nous sommes fait avoir. Nous pensions bien tranquillement commencer la journée par un bon skeud festif qui nous aurait filé une pèche à aller courir un 800 mètres à jeun, en jean, c'est dire. Et bien non. Ou plutôt si, mais non, et c'est là où je voulais en venir: cet album est à écouter TRES FORT!!! Oui, à un volume conséquent, type "je fais chier les voisins mais m'en cogne grave", putain quelles claques! Big beat à donf, énormes machines à groover sévère en club ou comme un dément fou un peu malade (voyez le genre...) tout seul dans sa chambre de bonne avec ses platines (bon d'accord, avec quelques potes, soyons pas rabat-joie), breakbeats, scratchs, hybrides hip hop et rock, tout y passe et on se met à rêver d'une pitite soirée sympathique avec au mix les Beastie Boys, les Chemical Brothers, Fatboy Slim, Les Freestylers, donc, et puis allez, soyons fous, un live de Public Ennemy. Voilà de quoi bien faire exploser le toit de la baraque. Note hip hop & rock = big beat? : (Djouls)

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