• Cannonball Adderley : "Somethin else" (1958) 
"aurait tout aussi bien pu figurer parmi les albums légendaires enregistrés par Miles Davis au cours de sa période «classique» chez Columbia"(Lire la chronique complète)
• Kenny Burrell : "Introducing Kenny Burrell" (1956)
"Immense guitariste, Burrell s'inscrit, comme Wes Montgomery, Grant Green et plus tard, George Benson, dans la lignée du légendaire Charlie Christian, étoile filante de la guitare electrique."(Lire la chronique complète)
• Brother Jack McDuff : "Down home style" (1969)
"On a tous quelquechose en nous de Jack McDuff... aurait sûrement écrit Michel Berger s'il avait écouté de la musique pas pop variète mais plutôt blues..." (Lire la chronique complète)
• Donald Byrd : "A new perspective" (1963)
"parlons un peu des rééditions Blue Note un peu plus classiques pour une fois, et de cet album du trompettiste Donald Byrd de 1963, sous-titré Band and voices" (Lire la chronique complète)
• Herbie Hancock : "The complete Blue Note sixties sessions (1961-1969)
"Toute une partie de l'histoire de la musique, en définitive, aussi indispensable qu'une énorme dose de John Coltrane, de Miles Davis, de Magma, de Pharoah Sanders, de Sun Ra…" (Lire la chronique complète dans la discographie Herbie Hancock)
• Herbie Hancock : "Takin' off" (Blue Note/E.M.I., 1962)
"Pour son premier album enregistré sur le label Blue Note en 1962, Herbie Hancock, alors âgé de 22 ans, frappe d'entrée avec le hit «Watermelon Man»"(Lire la chronique complète)
• Charlie Hunter & Leon Parker : "Duo" (1999)
"Pour synthétiser, quand deux noms du jazz se rencontrent, ils préfèrent jouer à deux car c'est tellement mieux quand on est moins à en faire plus" (Lire la chronique complète)
• Medeski, Martin & Wood : "Combustication" (1998)
"ils représentent désormais une nouvelle forme de groove, un trio post-moderne provocant car différent, dirigé par des orgues et autres claviers psychés" (Lire la chronique complète dans la discographie Medeski, Martin & Wood)
• Medeski, Martin & Wood : "Tonic" (Blue Note, 2000)
"C'est l'entracte, les gens se dispersent peu à peu et on comprend pourquoi notre pianiste préféré n'était pas à portée de vue: comme le piano à queue ne tient pas sur la scène (c'est vous dire si c'est intime), il est installé au devant de celle-ci, au niveau du public: place providentielle pour Medeski qui en profite pour faire de ce concert un moment unique, une cérémonie magique se rapprochant encore un peu plus, partageant à eux 3 et à nous tous mysticalités africaines, délires urbains atonals, grooves lancinants et jazz modal lunaire new-yorkais qui a tous les accents d'un Bud Powell endiablé." (Lire la chronique complète)
• Lee Morgan : "The sideminder" (1963)
"Il m'a été donné de lire dans un «guide de discothèque idéale jazz en 200 CDs» (cherchez bien, du côté des «agitateurs» en grande surface…) que cet album était, je cite, «distrayant» et «amusant» -mais indispensable quand même, puisque dans ce guide– un peu comme les Teletubbies, ou encore un film de Max Pecas" (Lire la chronique complète)
• Wayne Shorter : "Juju" (1964)
"Toutefois, si le nom de Wayne Shorter vous évoque avant tout un gros balaise en santiags spécialisé dans le marquage au fer-rouge des veaux égarés dans le Grand Canyon, une légère mise au point s'impose. Wayne Shorter n'a aucun rapport avec John Wayne, même s'il en a un avec John Coltrane. Vous me suivez, OK, on continue" (Lire la chronique complète)
• Erik Truffaz : "The dawn" (1998)
"Vous qui n'avez point encore trouvé la musique qui rallierait votre passion pour le jazz, le rap et la jungle, oyez!" (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue Break Beats Volume one" (1992)
"Raoul dégrafa fébrilement le soutien-gorge satiné de Melba, dévoilant deux mamelons pourpres et turgescents prêts à s'offrir aux lapements voraces de sa langue charnue." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue Break Beats Volume two" (Blue Note/E.M.I., 1994)
"Tandis que Raoul malaxait prestement de ses mains moites les protubérences mammaires de Melba, sa voisine Simone entra subrepticement dans le salon, vêtue d'une simple nuisette." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue Break Beats Volume three" (Blue Note/E.M.I., 1997)
"Suce mon membre dur, comme on suce un glaçon! Apaise ma frayeur et mon angoisse neuve." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue Break Beats Volume 4" (1998)
"Au total, 19 perles groovy, allant du piano boogie blues au disco funk en passant par le R'n'B, la soul revue façon Stax, le 60's soul rock, du groovy jazz standard, funky, bop, orchestral soul, herbie Hancock funk, heavy soul et acid jazz.." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue Juices Volume 2 - Squeeze" (1998)
"Oyez, oyez braves gens! La nouvelle doit se répendre que cela soit pour les sampleurs fous comme pour les organisateurs exténués d'une soirée qui s'avère être un fiasco total : ce disque est pour vous!" (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Blue note Mixtape vol.1&2 - Chips & cheers - Scotch & sofa" (2000)
"Et pour bien qu'on comprenne à qui sont adressées ces compilations, les pochettes sont à ce titre on ne peut plus pittoresques: de jeunes yuppies souriants, beaux, la trentaine et le tein UV, se détendent accoudés à un bar ou allongés dans un sofa." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "CARNIVAL, spicy flavors & exotic grooves set fire to Blue Note" (2002)
"La remarquable pochette, d'inspiration neo-zouk love, digne d'être affichée sur les devantures de tous les bons grossistes en produits capillaires afros du Boulevard de Strasbourg (Paris 10ème), ne devrait laisser aucun doute sur le propos de cet album" (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Look into the flower, trip on psychedelic grooves wit Blue Note" (2002)
"Comme ses petits camarades compilateurs, Fat Judy, sélecteur en chef de la série «Groove experience» pour Blue Note, nous le ressert d'entrée avec le même «Hashisch Party», extrait de la BO du film «Les galets d'Etretat», réédité dans les compiles citées plus haut. Normal. La compile Blue Note est psychédélique. Mais pas n'importe comment" (Lire la chronique complète)
