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L'histoire de John

VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...

Première partie (John Djouls)

Le bus allait bientôt s'arrêter et sa nouvelle vie allait enfin commencer. Après son accident, John ne supportait plus sa vie qu'il ne comprenait plus. Finalement, cette amnésie tombait à pic. Adieu les Yvelines, bonjour Paris!
À lui les petites femmes et les soirées whisky. En partant pour la grande ville, John ne savait pas trop ce qu'il faisait, mais avait-il seulement déjà su ce qu'il faisait?
Encore un feu (rouge) et ce serait le terminus. Ça n'était pas forcément une bonne idée, mais il avait décidé d'attaquer Paris par la Porte Maillot. En parlant de portes, celles du bus venaient de s'ouvrir! Patient dans l'âme, il descendit le dernier. "Ça y est!" cria-t-il, il posait le pied, il foulait enfin le sol parisien!
Première chose à faire, trouver une chambre, mais voilà, Paris, c'est cher! Alors comment faire?
Soixante-treize jours de mendicité passèrent et il se retrouva bientôt à la tête d'un petit pécule de six cent vingt sept francs, quinze centimes, un dollar et deux deutschmarks. Qu'allait-il bien pouvoir faire de tout cet argent?
Alors qu'il comptait et re-comptait son argent, soudainement un homme sorti de l'ombre et, le bousculant violemment, lui déroba tout son bien.
Heureusement il était capable d'établir un portrait beau rôt de son agresseur : un Django Edwards de 1m60 blond. Personne n'allait le croire. Surtout pas un flic. Surtout s'il était en short (le flic). Il se dirigea alors vers la pharmacie la plus proche...
... et demanda un préservatif à 1 franc afin de noyer son chagrin. Si les flics le savait!
Avec tout ça, il n'était pas dans la merde! Ah! Il y avait une fontaine toute proche. Il s'y rendit hardiment et avec hâte (et réciproquement), afin de remplir son "capotus britannicus" d'eau bien fraîche. Malheureusement, à la première tentative de noyade de son chagrin, donc quand il enfila le "homo condom alea jacta est" rempli d'eau sur sa tête, celui-ci explosa. La pression était trop grande.
Suite au vacarme qu'il avait engendré, tous les habitans du quartier sorirent pour voir ce qui s'était passé et ils virent John, presque nu dans la fontaine, tête baissée. Cette fois il n'échapperai pas aux flics.
Il l'expatrièrent illico-presto (et inversement) au Japon, chez sa tante maternelle qui l'avait adopté il ya déjà bien longtemps de cela. Elle s'appelait Jah-ky. Son chien Suhl-ten jappait de joie à l'arrivée de John, tout penaud.

Deuxième partie (John Goubereau)

John ne mit pas longtemps à se ressaisir...
... La joie de se trouver dans un pays adorateur de Zigue Zigue Sputnik lui faisait régulièrement toutes les 27 secondes trois quart verser une larme chaude coulant le long de sa barbe épaisse, du temps ou John arpentait les rues noires et purulentes de la capitale parisienne. À son grand désespoir cependant, John ne savait pas parler croate, plus que tout au monde (à chanter en sol diminué selon les principes immuables de John Obispo) il se devait de trouver de quoi subvenir a ses besoins en culottes souillées. Il se mit donc en tête de vendre au plus offrant toute sa panoplie de SDF salie durement sur les pavés favoris des teckels. La chance lui sourit soudainement sous la forme d'un représentant en préservatifs utilisés par John Holmes. « Ding dong » fit la porte. « c'est qui ? » s'empressa de demander John. Un silence pesant s'abattit derrière la porte. John désemparé, ne sachant que faire, sans savoir ou aller, prit au dépourvu, ouvrit la porte violemment et se tint là coi. L'homme ne mesurait pas plus d'un mètre, avait la peau grise des lendemains de visionnage intense du Camel Trophy, avait les yeux bridés, parlait en onomatopées et pire que tout... John devinait que sous ses vêtements, l'homme n'avait pas de nombril.

Troisième partie (John Goubereau)

C'est alors que le téléphone sonna... John se dit en lui même que le téléphone était vraiment une invention qui avait sauvée l'humanité de l'individualisme, qu'en plus maintenant que la concurrence avait le droit de citer il pourrait sans problème appeler la France pendant des heures sans que ça ne lui coûte trop cher, il pourrait par exemple appeler les renseignements et trouver un M. Meunier, le réveiller à une heure hindoue et lui dire : "alors Meunier... tu dors?". Le cerveau de John bouillonnait de tant d'idées géniales. Il se dit que oui vraiment le téléphone... mais la sonnerie ne retentissait plus, la nuit venait de tomber... ah non en fait le jour se relevait. Ça faisait maintenant dix neuf heures quarante trois que John se parlait dans sa tête. Pris soudain de nausée, il se retourna brutalement.... l'homme n'était plus là. John signa le papier que le préposé des postes lui tendait et eu toutes les peines du monde à retirer le recommandé des mains de ce dernier tant la raideur cadavérique de cette main tendue depuis une dizaine d'heures ne faisait rien qu'à retenir cette enveloppe contenant certainement des révélations fracassantes sur l'entrée dans les charts Groenlandais de "Chut le bébé dort", le dernier Phish en date. Mais soudain son attention fut attirée par un cercle sur le sol en lieu et place du gris japonais de précédemment. Le cercle semblait comme grillé. Comme si une intense chaleur avait été dispensée là, juste là, un peu plus à droite... voilà. Rien autour cependant ne semblait avoir souffert de cette chaleur qui avait pourtant réussit à faire fondre le joli paillasson en acrylique que la tante de John avait acheté dans une brocante pittoresque du haut Benin. Soudain le téléphone faillit sonner mais se ravisa. À ce moment John cru entr'apercevoir un objet translucide sur le sol au centre du cercle cramé. Il poussa du pied le cadavre du facteur et s'approcha de l'objet pour... oui d'ailleurs se dit John, pour quoi? Tendant une main fébrile il ramassa l'objet qui se déroula sous ses yeux que rien n'ébahissait plus. La chose était molle, sa consistance était plutôt visqueuse et elle renfermait une substance blanchâtre que quelques touches de rouge venaient égayer. L'objet avait du être de forme cylindrique mais semblait relativement usé, faisait une trentaine de centimètres de long et lorsque John le porta à sa bouche, un goût âpre et plaisant envahit le palais de John. C'est alors que le téléphone toussa. John heberlué venait de croiser du regard une inscription quelque peu timide. Tant bien que mal il réussit à lire cette dernière qui n'en demandait pas tant : "Oooh, loved your zircon encrusted tweezer. Yours deeply Rocco Siffredi."

Quatrième partie (John Goubereau nous narre une de ses belles recettes : "DES POTES LA TIGE", pas pour les enfants)

MAURICE SAVAIT QUE L'ODEUR DU THON FRAIS EXHALTAIT LE DESIR CHEZ BERNADETTE. IL AVAIT POUR HABITUDE DE SE FROTTER LE GLAND AVEC UNE TETE FRAICHEMENT TRANCHEE ET LE PARFUM QUI EMMANAIT DE SON ENTRE-JAMBE LAISSAIT BERNADETTE DANS UN ETAT D'EXTASE VOLUPTUEUSE. AUJOURD'HUI LE POISSONNIER S'EXCUSA DE N'AVOIR A OFFRIR A MAURICE QU'UNE BELLE DOUZAINE DE BULOTS PECHES DU MATIN. MAURICE DECONCERTE PRIS CES GASTEROPODES AQUEUX ET DECIDA D'Y ENFOUIR LA SIENNE. QUEL NE FUT PAS SA SURPRISE LORSQUE BERNADETTE SE JETA SUR LUI, L'EMPOIGNA, LUI OTA SON PANTALON AVEC FRENESIE EN HURLANT 'VIVE LILITH, VIVE LILITH, YO LILITH YO'. A PEINE MAURICE AVAIT IL EU LE TEMPS D'AVOIR UNE ERECTION QUE BERNADETTE TELLE UNE HARPIE EN RUT L'AVAIT RETOURNE, PLAQUE SUR LE MUR, LE SODOMISANT VIOLEMMENT AVEC L'HALOGENE DU SALON. MAURICE JOUIT SI FORT QUE LES BULOTS EFFRAYES SE JETTERENT DANS UNE MARMITE D'EAU BOUILLANTE. BERNADETTE Y AJOUTA QUELQUES HERBES DE PROVENCE, UN GOUSSE D'AIL ET REFERMA LE COUVERCLE. PAS PLUS DE 20MIN DE CUISSON, SEL POIVRE, ASSAISONNEZ A VOTRE CONVENANCE. LORSQUE LES BULOTS SONT PRET, DISPOSEZ LES SUR UN PLAT ET N'HESITEZ PAS A LE DECORER DE FEUILLES DE LAURIER OU DE RONDELLES DE TOMATES
SOYEZ CREATIFS ET..... MIAM

VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...


Les autres parties de l'histoire de John :
Index des différents histoires
L'histoire de John : "Parties 1 à 4"
L'histoire de John : "Parties 5 à 8"
L'histoire de John : "Parties 9 à 12"
L'histoire de John : "Parties 13 à 16"
L'histoire de John : "Parties 17 à 20"
L'histoire de John : "Parties 21 à 30"
John est chauve : "Parties 1 à 4"
Super-John : "Parties 1 à 2"



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