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L'histoire de John
VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...
Neuvième partie (The Incredible Melting Man : MY MILKMAN IS JOHN LYDON)
CA Y EST ILS M'ONT LACHE LA GRAPPE... MAIS POUR COMBIEN DE TEMPS???? JOHN EN ETAIT DONC AU POINT DE FIST FUCKER JOHNETTE MAIS IL FALLAIT D'ABORS QU'IL LUI REVELE SA VERITABLE IDENTITE. JOHN AVAIT SUBIT UN LAVAGE DE MOQUETTE QUI L'AVAIT CHANGE EN JOHN MAIS AVANT IL ETAIT PAS JOHN MEME SI SA MERE VOULAIT L'APPELER JOHN ET QUE SON PERE JOHN AIMAIT JOHN MAIS DE LOIN. RAVALANT AVEC BRUIT LE LIQUIDE QUE LUI OFFRAIT VOLONTIER LA JOHNETTE, JOHN COMMENCA :
- 'SAIS TU JOHNETTE QUE JE NE SUIS PAS UN GARCON COMME LES AUTRES?..'
- 'MAIS BIEN SUR JOHN C'EST POURQUOI JE T'AIME'
- 'JE VEUX DIRE JOHNETTE QUE JE SUIS réellement DIFFERENT'
- 'MAIS ENFIN JOHN AURIEZ VOUS L'EXTREME OBLIGEANCE DE DETAILLER VOS PROPOS CEANT'
- 'VOILA. ON M'A UN JOUR FAIT UN LAVAGE DE MOQUETTE ET..." MERDE LES ENCULES ILS REVIENNENT... LACHEZ-MOI BANDES DE BEDONNANTS BEDOUINS... CASSEZ VOUS... MAIS ENFIN VOUS... MAIS... AIE EUUUH...
Dixième partie (The Incredible Melting Man : who's johnny she said?)
Avertissement négatif. Purulence divine. Moquerie pathogène intra-stigmatisée. Desseins sournois de lierres furibonds. Vascosité bleue à penchant rédhibitoire cassant l'éphémère diatribe d'un gland survitaminé. Folles tordues jonglant sous le soleil, vomissant leur protéines. Instinct racoleur de l'oubli. John avait la tête comme son cul. Après d'innombrables essais infructueux de contrôle de sa libido enflammée, il ne lui restait plus qu'à devenir un écrivain de la bite-génération. John n'avait pourtant pas spécialement lu de livres dans sa vie mais sa destinée semblait tracée. Promis aux affres du succès lobotomisant, John préparait déjà sa reconversion. N'avait-il pas déjà eu un signe de la main de Rocco et ses soeurs? Il ne restait plus à John qu'à oublier le Japon et ses lapins. Déjà, l'appel des lettres magiques H-O-L-L-Y-W-O-O-D se faisait pressent.
Onzième partie (John Djouls)
En bon scientifique qu'il était quand il avait cinq ans, John finit par comprendre que s'il voulait aller à HOLLYWOOD, il lui fallait prendre l'avion, à moins de nager jusqu'à la californie d'un coup? Que faire? Évidemment, il décida de nager, d'abord, et puis il se ravisa se rappelant qu'il ne savait pas. En prenant un taxi à trois pieds, il se disait qu'il serait bien plus rapidement à l'aéroport de Kyoto. Mais John se dit que comme il connaissait bien Tokyo, c'était pareil pour Kyoto mais à l'envers... Il prit donc toutes les rues qu'il ne connaissait pas à l'endroit mais qui lui disaient quelque chose à l'envers. Cinq jours plus tard, John embarque pour la Californie. Un peu anxieux, il demande à sa jolie voisine blonde si elle a quelque chose pour empêcher le mal de l'air. La jolie répond oui et tend une pilulle à John qui s'empresse de l'avaler. Cinq minutes plus tard, la blonde qui fouille dans son sac, retrouve une autre pilulle et prend un aire embèté :
- "Excusez moi monsieur... je crois qu'il y a un problème : vous avez pris la mauvaise pilule!
- Comment ça la mauvaise?
- Bah... la mauvaise quoi!
- Bon, manquait plus que ça, pensait John, une blonde!"
Douzième partie (Peter GOUIN's Brother)
John n'avait pas rencontré de blonde depuis une sale affaire.
John : 'Sale affaire patron.'
La blonde : 'Pardon?'
John : 'Vous ne pouvez pas comprendre, passez moi le sel.'
La pilule avait du mal à passer et pour cause, John avait bouffé la boîte sans lire la notice ni retirer le couvercle.
La blonde : 'Raoul, oh oui Raoul, arrètez-vous devant une pharmacie.'
John : 'J'arrète le guronsan ! Et arrètez de m'appeler Raoul, cela me rappelle que j'ai oublié de nourrir mon chat.'
La blonde : 'Comment savez-vous que j'ai un chat? Je n'en ai jamais parlé qu'à mon confesseur!'
John : 'Tout ce que je veux c'est aller à Hollywood. Rendez-moi mes pillules et qu'on en finisse. J'attends l'agent recenseur. Celui-là je peux vous dire qu'il ne faut pas le faire attendre. Il a vite fait d'enregistrer votre chat sous un nom d'emprunt. allez hop!
La blonde : 'Ho Raoul, je te reconnais bien là, allez viens voir ta maman. Non, pas les griffes, rentre les griffes je te dis, tu vas encore me filer un bas.
John : 'Je crois que je vais vomir...'
VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...
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