qui est T.I.M.E.C.www.djouls.comLe label T.I.M.E.C.

howard

.
john
john parties 17 a 20histoire de john
john john

L'histoire de John

VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens... vous pouvez soit écrire la suite de cette histoire (thème: John) ou bien en démarrer une autre (thème: John est chauve)

Vingt et unième partie (Dagos)
Des ballades oui mais au milieu des champs de cannabis c'est là que l'air est le meilleur. Une fois rassasié John se leva comme il le pouvait. Il voulait vomir de honte car il s'imaginait le regard de sa mère posé sur lui, sa mère qui était morte au Vietnam.

Vingt-deuxième partie (Maxime "Bérrée")
Et alors, direz-vous? On ne va pas s'en sortir avec du pathos freudien comme ça, non mais oh! John sortit enfin de son trip, après quelques heures passées à se rouler dans son vomi au fond de la maison close, qui n'avait d'ailleurs plus rien de close puisqu'à la suite de la rixe ignoble qui y avait eu lieu, seules des décombres subsistaient. Alors John eut subitement faim. C'est vrai, ça, les héros n'ont jamais faim et d'aileurs on ne les voit jamais manger (hormis des bulots et des lampes hallogènes). Or John avait faim. Mais il n'y avait rien à manger, aussi se contenta-t-il d'errer dans les rues de Tombouctou, il avait toujours 10 yens sur lui, souvenir de son passage au Japon, et un canard foudroyé, souvenir de son passage dans le futur (mais immangeable). Comment faire pour partir d'ici, c'est à los Angeles que je veux aller, moi euh! Alors qu'il s'asseyait sur un trottoir, regardant la foule bigarrée, il commençait à en avoir vraiment marre de cette histoire dont personne ne pourrait le dépêtrer, pas même ceux qui l'avaient créé, puisque sa mère était au vietnam et son père au surinam (il s'en rappelait soudain), et les auteurs à l'alcool de poire. Alors il se dit MERDE MERDE MERDE, j'en ai marre cette fois, je prends les choses en main, on verra si je n'y arrive pas à Los Angeles. Vas-y John réfléchis à un moyen, réfléchis. Son visage se tordit sous l'effort accompli, il devint tout rouge, John semblait sur le point de trouver quelque chose, un peu comme un mot sur le bout de la langue. CA Y EST, J'AI TROUVE!!! Je vais fabriquer un RADEAU, putain, ça y est j'ai une idée. Ah ah ah, je vous ai bien eus tous, et j'y arriverai à Las Vegas ou je sais plus où! OUAIIIIIIIS!!!

Vingt-troisième partie (Mijer)
Seulement voilà, un radeau, elle en aurait pensé quoi, sa mère? «Hors de question, on va se battre!», sûrement: c'était une bien belle mère qu'il avait là. Une mêre comme on aimerait en voir plus souvent. La Kojak à moustache qu'on l'appelait sa mère! C'est pour dire! Mais franchement, ce n'est pas parce qu'une femme connait un leger problème de pilosité faciale galopante doublée d'une calvicie genre Skeletor, qu'il faut qu'elle s'engage chez les marines pour aller bruler du niaqwé? Finalement Ils l'ont empalé sur un éléphant mort à c'qui parait. Mais d'aucun disent qu'il l'ont aperçu au fond des casemates du fort d'Yvry, hurlant d'horribles insanités: SCA 78!! SCA 22 65!! (waou!).
John remua vigoureusement la tête pour faire disparaitre les images de Mireille Mathieu et Patrick Duffy qui lui trottaient dans la tête, il jeta un coup d'oeil à sa montre: 12h10, ouf! Son contact, un certain Louis Berlin (bizarre comme nom pour un contact?!) lui avait donné rendez-vous à 12h12 au mess des cyber-CRS, rue de la gaule, à Maîscouil. Arrivé sur place il jaugea le terrain, Sur la droite des marches qu'il venait d'emprunter, un orchestres à corde et aux yeux globuleux distillaient un air jazzy, plus loin le bar, lacéré de coups de couteau, dont les entailles se prolongeaient sur le barman, un type hirsute et à l'air pas commode. Sur sa gauche quelques tables discrêtes avec toutes sortes d'Aliens délirants, et au milieu, Yan Solo! Merde il etait tombé dans un bar à Putes de Tatoïne, les boules...

Vingt-quatrième partie (Henri Salvaire)
John eut un flash... les voeux du dalaï lama pour cette nouvelle année... 2001... il les avait reçu dans sa messagerie Internet: "souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance" ou bien "lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon".
Il lui faudrait du temps pour digérer ces phrases... beaucoup de temps... et John jubilait.

Vingt-cinquième partie (Webmaster FZFC)
Et merde! plein le cul de ces partouzes! Que faire pour s'en sortir alors que déjà une pute trimammaire s'approche de lui en gloussant un air du Grand Wazoo? Une idée lui vient: il siffle de toutes ses forces "Cletus Awrightus" et la pute s'éloigne, convaincue à jamais que l'armée de celui-ci est bien la meilleure. C'est pas tout ça, John a pas mal entamé sa réserve de cachés blanblancs et de Cannabis qui rappelons le au passage fait partie des drogues douces et voit son usage répréhensible par les lois françaises en vigueur. Il doit prendre rapidement contact avec son dis-l'heure et justement apperçoit un téléphone vaginal sans fil bleu qui pendouille et décide en accord avec l'indien zarbi moitié à poil de l'utiliser promptement. Il entre donc de son mieux son crâne chauve dans l'orifice oedipien et entend un voix cunilingue qui lui répond "glou glou", "veux parler à Mr Serge Gainsbourg, viiiiite", il a bien failli vomir tant l'effort pour construire une phrase structurée et sensée l'a cérébralement remué. "à bientôt!" enchaîne aussi sec la voix de la poufiasse d'AOL... C'en est trop, il n'en peut plus, il craque et se déverse sous le combiné entre les pieds de l'hôtesse de Bizarre Telecom. "Vais en finir", murmure-t-il. Il s'adosse au mur le plus proche, ouvre son sac-carotte toujours bien en place sous son aisselle, et fait rapidement l'inventaire de ce qui lui reste à fumer, à sniffer, à boufffer ou à s'envoyer. Une ridicule boulette de Bombay Black, un sachet vide et une cuillère à café. Merde. John prend sa respiration une ultime fois, se roule un gros Golgot à base de ridicule boulette de Bombay Black et d'insectes bizarres qui rampaient dans un pot de géranium que la maîtresse des lieux avait mis là pourquoi d'ailleurs? Il avale le sachet vide, s'enfonce la cuillère dans le cul et allume son pétard gratefullien... le fume d'un trait, s'évanouit presque aussitôt dans un ultime sursaut de lucidité... "Merde, faut que je sois au boulot à 5H30 sinon je suis viré..." Le bar à putes fermes ferme et John reste là, inerte dans ce coin sombre entre deux banquettes.

Vingt-sixième partie (Anelor)
Et finalement, finalement, il sortit de ce lamentable rade, enfourcha son radeau; traversa l'océan tel kersauson en pleine éffluve de ses mémoires salées... il voulait vraiment y arriver.... consulta son psy pour supporter l'avion, un tranxène et 20 000 miles plus tard, il atterrissait sur l'aéroport ensoleillé de Las Vegas où les filles sont non moins ensoleillées... il se disait, putain, les blondes, on a beau dire, elles sont belles ici... mais il ne perdait pas de vue sa mission... il avait vu et revu "Casino" pour se sentir fin prêt émoulu à affronter la pègre du coin (un gros coin quand même) (et pas de la petite pègre Sarcelloise)... m'enfin, il s'en fout John, il a plus peur de rien, John, maintenant... Il devait rencontrer Rick-the-killer vers 20h... il bu 4 babies et en mangea un... -ah il se sentait prêt à venger sa mère- Il s'assit dans le fumoir (ben oui c'est la classe les hôtels à Vegas)... Un grand type s'approcha... il ne voyait pas son visage, tournant le dos au même soleil qu'à son arrivée... pourtant il sorti sa maglight et la brandit dans sa direction... waouhh, c'est qu'il avait une sale tête ce sale type, le visage déformé par dans le désordre: des coups de couteaux, l'alcool, la daupe, la petite vérole, la varicelle à 7 ans et demie (allité 2 semaines) et j'en passe... tellement mal le sale type, qu'il s'écroula à ses pied en dégoulinant comme de la crême de lait (pas ragoutant le truc... c'est à cause des pustulles de la vérole)... enfin toujours est-il que John l'avait vaincu d'un jet lumineux dans l'oeil gauche, il est vraiment fort John.... Fatigué par tant d'émotions, il quitta le fumoir et se dirigea vers le cybercafé le plus proche et balança le son T.I.M.E.C....putain, ça y est le nouveau Djouls.com est en ligne!! ça jette...

Vingt-septième partie (Wickedbaba)
Las Vegas c'est chouette, Las Vegas c'est beau, mais quand on aime pas le jeu, le seul moyen de s'amuser un peu, et John le savait, c'était de se marier. Là-bas, contre un peu de blé, on peut se marrer et dix minutes pour l'apéro et divorcer à Reno après le petit déj'. Il ne lui restait plus qu'à trouver une daurade qui allait se laisser hameçonner. Il dépassa le Caesar Palace et MGM Grand, inutile d'aller roucouler dans les grands temples à fric. Pour se la jouer minot des faubourgs, il suffisait de prendre son meilleur accent de Carcassonne et d'aller traîner ses gêtres du côté du vieux Paris. Ah là, il y en avait de la belle en quête d'amour. En moins de deux, il trouva une Louisa et l'entraina sans contradiction signer les bans sur les bancs de la première église de néon. Louisa, lui apprit-elle lorsqu'ils prirent place dans la Cadillac décapotable louée pour la noce, était une ex-gymnaste échappée du bloc Russo-communiste au début des années 80. Rien ne faisait peur à John, mais quelque part il respira en pensant que Reno n'était qu'à quelques centaines de miles de là. Elle était jolie sa Louisa, et il comptait bien rentabiliser le voyage...

Vingt-huitième partie (bruceleeisback)
Et il la regardait, sa Louisa, si joliment fardée au point qu'il eut une pensée éphémère pour Ginette, la pute de Fleury à qui il avait une fois demandé des trucs spéciaux, là, en bordure de forêt, sous les étoiles. Il y repensait alors plus intensément, à sa Ginette, avec une certaine nostalgie; ce qui a eu pour effet immédiat de revitaliser certaines parties de son corps, dont le cerveau, ramollies par les 8% d'alcool de 27 pintes de Bud trafiquées à la vodka qu'il s'était auparavant enfilées à lui tout seul. Et il se disait alors en lui-même que ça y est, il se sentait fin prêt pour franchir le grand saut. Et il lui en fallait, de l'énergie pour faire ce grand saut, car sa Louisa n'avait plus tout à fait un corps sculpté dans le roc musculaire, ni la minceur d'une galante jeune femme dans la fleur de l'âge... Les contrats de mariage signés, le «saut» promettait d'être périlleux, très sport même, mais John s'en fichait: il se réjouissait déjà de la satisfaction d'être un homme casé, puis fraîchement divorcé, de son futur statut d'ex d'une ex-gymnaste et tout ça à Vegas! Le pied total!
Il prit alors doucement la main de sa Louisa et l'amena devant l'autel dans l'intention ferme de l'emmener ensuite à l'hôtel... Il était tout excité, se sentait tout chose, et surtout, il empestait la Bud! Bordel! A tel point qu'il n'avait même pas senti venir le truc!...

VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...


Les autres parties de l'histoire de John :
Index des différents histoires
L'histoire de John : "Parties 1 à 4"
L'histoire de John : "Parties 5 à 8"
L'histoire de John : "Parties 9 à 12"
L'histoire de John : "Parties 13 à 16"
L'histoire de John : "Parties 17 à 20"
L'histoire de John : "Parties 21 à 30"
John est chauve : "Parties 1 à 4"
Super-John : "Parties 1 à 2"



HOME | EDITOS | DEBAT MP3 | T.I.M.E.C. | SAOUNDS | NEWSLETTER | CONTACT
DISCOGRAPHIES LABELS | DISCOGRAPHIES ARTISTES | CHRONIQUES DISQUES | HISTOIRE DE JOHN | LE RESTE
Djouls.com © 1999 The Incredible Melting Entertainment Compagnons
alleluyark.com | djouls.com | grantphabao.com | kactus.org | havanito.com | professoroz.com | saounds.com | timec.net