L'histoire de John

VOUS AUSSI, écrivez l'histoire de John, c'est ouvert à tous, et doit partir dans tous les sens...

Cinquième partie (où John Djouls se demande ou il en est)

Pourquoi ces histoires salaces lui revenait-elles, maintenant? John n'avait jamais réellement apprécié les plats réchauffés, sauf peut-être certains plats en sauce, qui, sans expication aucune, pas de lettres, pas de coup de téléphone, rien, étaient bien meilleurs le lendemain. Bref, John se ravisa rapidement et se hissa hors de chez lui (en fait, à l'époque, son appartement était occupé, il avait frappé à la porte de chez lui et une voix sourde lui avait répondu : "Occupé", il habitait donc dans le terrier d'un de ses amis lapins, John Wailer, que tout le monde appelait Bunny, donc il ne se hissa pas vraiment hors de chez lui, mais hors de chez Bunny, soyons précis). Il avait encore pleins de bouts de carottes dans les dents, mais peu importait. Il était libre. Il n'allait plus à avoir à s'occuper de toutes les copines de son hôte pendant de longues et chaudes heures (Ah! Les copines de Bunny, de vraies salopes, celles-là, elles ne pensaient qu'à niquer comme des lapins en rut). Seulement, s'il ne voulait pas passer ses nuits à rêver d'une brosse à dents (pour ses dents), objet indispensable au renouveau de la conquète de John du monde, il fallait qu'il s'active.

Sixième partie (John Longour : Je sais ce qui se passe après!)

"Bon sang mais c'est bien sur!" s'écria john en regardant dans l'entrée de l'immeuble déserté, donc sans intérêt. "C'est à Meuilly sur les breuses que je dois aller!" se dit-il encore tout haut. C'est donc l'âme en peine et le sexe fatigué que John finit par partir de chez Bunny. Il faut avouer que partir lui déchirait le coeur et les tripes : le coeur car il aimait bien Bunny, et les tripes car il allait devoir prendre le METRO (tatataaa!!). A cette idée, il lui revint plein de scènes à l'esprit tel que la fois où une bande de loubards de droite modéré avaient essayés de violer son cache col, ou encore la fois où une octogénaire de 90 ans (si,si, c'est possible!) écoutait à donf le meilleur du best off de François Valery dans son walkman franprix... Ah! Il est vrai que cela n'allait pas être facile! Toutefois, aprés avoir pris 3 acides, fumé 15 joints et sniffé 4 grammes de coke, john se rendit vers la bouche de métro béante qui gisait là (mais non, plus loin...). Horreur et damnation! John, à peine entré dans le métro,y découvrit des choses immonde! Florent Pagny avait choisit le même wagon que lui pour faire la manche. 15 stations à se taper "savoir aimer" a capella en italien du sud. A la deuxième station, john craqua et prit la hache du bucheron qui était là à coter de lui. Il asséna à Florent un coup magistral qui l'arrêta net dans sa beuglante. L'agressé regardait l'oeil vide et animal de John qui tenait à bout de bras la hache du bucheron de chez Mac Cain.(oui, j'aime bien les buns de chez Mac Cain).C'est alors qu'à la surprise générale, florent finit par dire : "pourquoi...pourquoi t'es comme ça...pourquoi ça va pas...". John ne laissa pas à Florent le temps de terminer sa phrase et lui trancha la tête d'un cou (marrant, non? la tête...d'un cou...bon...d'accord!) Bref, John regardait le corps sans tête se vider sur le sol du wagon. Mais il n'était pas au bout de ses problèmes car , déja, il entendait une voix qui venait de l'autre bout du wagon : "elle tape sur des bambous et c'est numéro 1...". NON, PAS PHILIPPE LAVIL!!

Huitième partie (John Tiff : n'étant pas sûr de ce qui m'arrive...)

"Dans le doute je m'abstiens d'ériger un commentaire quelqu'il soit sur la taille du sexe des éléphants d'Asie Mineure du Sud. Effectivement le doute m'habite. Qui plus est, je pense sincèrement ignorer tout de ces bestioles avachies de toutes façons sur leur sexe béant de lassitude journalière." John pensait avoir tout dit à Helena. En effet, cette paléonthologue frigide cherchait des réponses à ces questions et elle en avaient trouvées. Tout de même, passer 3 ans au Népal pour chercher une réponse qu'on ne trouvera jamais, c'est rude! John pensait pouvoir panser les blessures profondes d'Helena en la violant brutalement sur le tas d'allumettes qui étaient là. Mais rien ne se passa : désormais il en était sûr, elle était belle et bien frigide. Il ne voyait pas d'autre solution que d'appeler son ami Oscar le Calamar. Étant donné son état reconnu de calamar géant, il était pourvu d'énormes tentacules dont il se servait des fois pour aider la copine d'un copain et inversement. Quand Oscar arriva, Helena se sentit soudainement fondre. C'en était trop pour son sexe turgescent.

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