A voir aussi: la sélection de compilations d'Havanito, par genres:

Ambient Dub & Beats
Classic Jazz & Free Jazz
Classic Rock & Blues
Disco
Dub & Reggae
Easy Listening
Electronica & Bleeps
Funk
Funk & Electro Breakbeats
Hip Hop
House & Minimal Beats
Jam Bands
Jazz Funk & Acid Jazz
Jungle Drum'n'Bass
Latin & Brazilian Beats
New Orleans Funk
Old School Hip Hop
Pop/Rock
Psychedelic Rock
Soul Jazz Grooves
Techno-Funk, Deepness & Nu-Jazz
Trip Hop Downtempo
Turntablism & Special Mixes
World Grooves & Latin Jazz

TOUTES les chroniques Techno:

• Air : "Moon safari" (Source/Virgin, 1998)
"Si on ne vous prévenait pas, vous écouteriez sûrement Stardust en disant c'est génial, vous auriez acheté du Zappa à votre grand-mère, vous penseriez que les comics ne sont que des BD, que Courtney Love a du talent et surtout, que Air apporte quelque chose à la musique" (Lire la chronique complète)
• Air : "The virgin suicides" (Source/Labels, 2000)
"les deux petits fourbes se sont réfugiés derrière l'alibi de la B.O. de film. Facile pour éviter la critique trop sévère! En tout cas c'est bien tenté mais ça ne nous empêchera pas de réclamer notre dû." (Lire la chronique complète)

• Alëem : "sound season" (Pro-Zak Trax, 1997)
"Maître Corbeau, sur son arbre ché-pere, tenait en son bec un Pro-Zak. Il l'avala et mourut sur le champ car il n'y avait pas assez de place pour deux sujets dans cette chronique" (Lire la chronique complète)

• Dave Angel : "Globbetrotting" (Island, 1997)
"...parfois très Daftpunkiens voire Underworldesques, mais dans le bon sens du terme" (Lire la chronique complète)

• John Aquaviva : "presents Skills" (!K7/PIAS, 2000)
"Pendant un peu plus d'une heure, on passe d'une ambiance club à un son plus métallique et tranchant, pour terminer sur une hardhouse qu'on écouterait jusqu'au bout de la nuit." (Lire la chronique complète)

• ARK : FULL DISCOGRAPHY + MP3z
Trankilou, Shalark, Unknown Mysterioso ou tout simplement Ark, un grand coup de kick dans la house!

• Audio Active : "Return of the Red I" (WEA, 1999)
"Manga dub… ou dub manga, de toutes façons c'est de l'electro fumée que nos Audio Active nippons diffusent sur ce 11 titres sympathique" (Lire la chronique complète)

• Ballistic Brothers : "Ballistic radio E.P. (Soundboy, 1998)
"Pas facile de faire le tri dans la production actuelle de musique électronique, format maxi. Alors quand un EP de ce niveau sort aussi évidemment du lot, il faut le signaler" (Lire la chronique complète)
• Ballistic Brothers : "Rude system" (Soundboy, 1997)
"Techno, house, jazz, funk, soul, breakbeats, dub se mélangent en harmonie pour obtenir un groove technologique, qui s'écoute en boucle, comme un disque de reggae, avec beaucoup d'improvisation se rapprochant du jazz" (Lire la chronique complète)

• "The button down mind of Daniel Bell - Globus mix vol.4" (Tresor/P.I.A.S., 2000)
"La techno, dite minimale, ne revient pas en force, elle a toujours été –depuis les origines du phénomène électronique- une source inépuisable d'investigations diverses pour les Dj's et autres producteurs talentueux. Daniel Bell, pour les profanes, est un nom méconnu et pourtant il est un des piliers de la scène techno de Detroit depuis son éclosion." (Lire la chronique complète)

• Black Star Liner : "Bengali Bantam Youth Experience!" (WEA, 1999)
"Bon bien sûr, le leader est ici d'origine Trinidad/Inde, mais il est le seul, et même si on retrouve moultes tablas, sitars et grooves drum'n'bass / trip hop tout au long de l'album, il ne se passe pas grand-chose de transcendant" (Lire la chronique complète)

• Bob Sinclar : "My only love" (Yellow/east/west, 1998)
"c'est… un clone de Severine Ferrer" (Lire la chronique complète)

• Burnt Friedman & the Nu Dub Players :"Just landed" (Scape/PIAS, 2000)
"on aime bien ce disque parce que c'est du dub de drogué à la marijane, un point c'est tout! Ceci étant d'ors et déjà réglé, passons à l'étape suivante: l'écoute." (Lire la chronique complète)

• "Café Del Mar Volumen Seis" Compiled by José Padilla (Mercury/Universal, 1999)
"Imaginez... Une plage d'Ibiza, peu avant le coucher du soleil. Vous sirotez un punch bien tassé pour faire passer cette journée ensoleillée que, une fois de plus, vous n'avez pas vu: c'est l'heure de sortir." (Lire la chronique complète)

• Cassius : "Cassius 99" (HBF/Justice/Virgin, 1999)
"Il est des jours où l'on se demande quelle est la réelle différence entre un remix et un morceau de Cassius!" (Lire la chronique complète)

•Caustic Window : "Compilation" (Rephlex, 1999)
"Le Aphex Twin qui ici nous offre une compilation de morceaux plutôt difficiles à dégoter, sortis en premiers sur son label Rephlex en vinyle uniquement, sous la forme de trois maxis" (Lire la chronique complète)

• Chain Reaction : "Compiled" (Basic Channel/PIAS, 1999)
"on trouve sur ce disque, un panel -non exhaustif lui aussi- des artistes qui ont contribués à développer le parallèle entre la scène underground Berlinoise et Détroit." (Lire la chronique complète)

• Compilation : "Le chant de la machine" (Source/Virgin, 2000)
"Au rayon Bande Originale -à coté du chant des baleines (le gland bleu)- vous trouverez ce mois-ci, Le chant de machine, bande originale de la B.D du même nom! Pour vous la faire courte, c'est l'histoire du nightclubbing des seventies à la fin des eighties ou comment passer du disco à l'aciiiiiiiiiiiid house." (Lire la chronique complète)

• Chemical Brothers : "Brothers gonna work it out" (Chemikal Underground / Labels, 1998)
"À plus d'un an après "Dig your own Hole", Les Chemical Brothers nous reviennent avec un album mix éclectique qui nous emmène à travers leurs influences" (Lire la chronique complète)
• Chemical Brothers : "Surrender" (Chemikal Underground/Labels/Virgin, 1999)
"Alors ce disque? Rien qui bouleverse quoi que ce soit ni dans la musique ni dans l'univers Chemical mais un putain d'album qui donne un plaisir fou à l'écoute" (Lire la chronique complète)
• The Chemical Brothers : "Hey boy hey girl" & "Let forever be" (Chemikal Underground/Labels/Virgin, 1999)
"Studio K, course effrénée sous trip, nous rappelle le meilleur du département électronique de notre label (T.I.M.E.C.), en aussi barré, aussi débile, aussi joyeux, aussi glauque. Un morceau contradictoire, en somme" (Lire la chronique complète)
• Chemical Brothers : "Out of control" (Freestyle Dust/Labels, 2000)
"Est-il encore nécessaire de dire que les frères chimiques sont des génies?" (Lire la chronique complète)
• Chemical Brothers : "Music: response?" (Freestyle Dust/Labels/Virgin, 2000)
"Le psychédélisme n'est pas mort, ça on le sait depuis la sortie de leur dernier album, mais de là à en conclure qu'en plus, leur musique puisse envahir mes rêves me devient vite insupportable." (Lire la chronique complète)
• Chemical Brothers : "Come with us" (Labels/Virgin, 2002)
"C'est l'esprit chagrin et l'oreille presque ailleurs qu'on s'attaque à la première écoute d'un nouvel album des Chemicals... Quoiqu'il arrive ça sera sûrement comme la dernière fois, des morceaux moins évident à assimiler, à découvrir sur le temps (ou avec) et puis... paf... patatra... tsoing tsoing ... c'est exactement ça" (Lire la chronique complète)

• "Fuse presents Dave Clarke" (Music Man, 2000)
"Enregistré à l'occasion d'une résidence de Dave Clarke dans LA boite Belge qui s'intéresse à la (vrai) techno, ce mix vous met une claque!" (Lire la chronique complète)

• Dakar & Grinser : "Are you really satisfied now" (Disko-B/Labels, 2000)
"Pas désagréable pour les fans d'électroniques «années 80», cet album aurait plutôt tendance à ne rien faire ressentir tellement, il est impersonnel!" (Lire la chronique complète)

• Death In Vegas : "The contino sessions" (Concrete/BMG, 1999)
"Death in vegas parano... Comme il aurait pu être fier l'ami Tricky s'il avait ecrit "Death threat", le troisième morceau de cet album, mais bon, il a bien d'autres raisons d'être fier de lui" (Lire la chronique complète)

• Dimitri From Paris : "A night at the Playboy mansion" (Labels/Virgin, 2000)
"Le "dandy" parisien, amoureux des belles femmes, de l'argent et des paillettes, revient avec un mix 90% disco, 10% house, mélangeant habilement les tubes d'hier et... d'avant hier, agrémenté de quelques standards funk NRJ, quand cette dernière était encore une radio libre (ça date!)." (Lire la chronique complète)

• Etienne De Crecy : «Tempovision» (Solid/V2, 2000)
"Exit la house filtrée des débuts, place à des morceaux, dans l'ensemble down, voire mid-tempo, inclassables." (Lire la chronique complète)

• Dirtywarpedfunk : "An experiment in fucked up Electro Disco & funkt House" (Hydrogen Dukebox/PIAS, 2000)
"Si le titre est si long, c'est tout simplement qu'il résume à lui seul le contenu de ce disque électronique et éclectique." (Lire la chronique complète)

• Terrence Dixon : "From the far future" (Tresor/P.I.A.S., 2000)
"Terrence Dixon est un de ces nombreux producteurs natifs de Detroit, qui, depuis quelques années déjà, travaillent à l'ombre des stars locales, et dont l'émancipation est imminente." (Lire la chronique complète)

• Dj Q : "Face the music" (Dorado/WEA, 1997)
"Dj Q mixe avec esthétisme et efficacité orientée dance-floor des influences latino, pumpin' house et techno mélancolique façon Detroit" (Lire la chronique complète)

• Donuts #3 : "Lazy beats for lounge lizards" (Bolshi/Night & Day, 1999)
"On trouve dans cette compilation le résultat d'une autre évolution de la musique électronique, imbibé le plus souvent d'une bonne dose de hip hop et d'electro, passant par des travers jungles ou breakbeat, n'hésitant pas non plus a se mêler a la pop." (Lire la chronique complète)

• Dubtribe Sound System : "Bryant street" (Zomba/Jive Electro/Virgin, 1999)
"la première impression, housesque disais-je, se fâne bien vite pour faire place à un spectre assez vaste d'émotions réjouissantes et d'envies de faire la fête" (Lire la chronique complète)

• Adam F : "Colours" (Positiva/F-Jams/EMI, 1997)
"On retrouve plein d'éléments funk ou jazz un peu partout, un peu comme une sorte de vulgarisation de la drum'n'bass auprès d'un large public" (Lire la chronique complète)

• Fatboy Slim : "You've come a long way, baby" (Skint / Small, 1998)
"Bon, en définitive ce disque n'est pas vraiment génial, dans le sens ou d'ici la fin de l'année, peut-être un peu plus tard avec de la chance, il sera entièrement consommé, à outrance sûrement même, mais inversement il est génial, parce qu'il n'y a pas mieux pour faire la fête et que ça risque encore de durer jusqu'à la fin de l'année" (Lire la chronique complète)

• Faultline : «Closer Colder» (Leaf, 1999)
"Cette musique est à l'image de sa pochette, elle évoque la bande-son d'un des premiers films de Cronenberg, version «Qu'est-ce qu'il fait beau dit donc t'as vu pas un nuage c'est con que l'on doive aller bosser dans ce gros bulding en béton tout moche»." (Lire la chronique complète)

• Fiat Lux : "Racing team '99" (Fiat Lux/Label/Virgin, 1999)
"Après la vague Daft Punk, les fêtes Pro-Zak et les mixes de Kojak (en se permettant d'oublier avec ardeur les niaiseries type Cassius, Bang Bang ou Bob Sinclar, sans parler de la variétoche internationale type Armand Van Helden), un autre label français, Fiat Lux, nous épate par l'efficacité remarquable de ses premières productions" (Lire la chronique complète)

• Freestylers : «We rock hard» (Freskanova/Mammoth/P.I.A.S., 1999)
"Celui-là est sorti il y a plus d'un an, mais bon, vu que la maison de disque n'avait pas jugé bon de nous l'envoyer, et qu'il déchire quand même pas mal, nous avons finalement mis la main dessus sur le net pour un couple de dollars." (Lire la chronique complète)

• Funki Procini : Zombie (Crippled dick Hot Wax!, 2000)
"Return of the living mozzarella... Mais qu'était devenu le combo italien le plus obsédé de la planète? Tant de temps passé à se mater des films de Dario Argento pour pouvoir avoir sa dose d'images tagliatelles et de sons spaghetti." (Lire la chronique complète)

• Funkstörung : "Appetite for distruction" Studio!K7/P.I.A.S., 2000)
"Avec «Appetite for Distruction,» Funkstörung confirme son avancée vers de nouvelles expérimentations. Michael Fakesch et Chris de Luca nous avaient livré l'année dernière des remixes éclectiques allant de Björk au Wu Tang-Clan en passant par Finitribe. Ils reviennent cette année avec un premier album tout aussi riche, mêlant électronica et hip hop." (Lire la chronique complète)

• Laurent Garnier : "Unreasonable behaviour" (F.Com/P.I.A.S., 2000)
"Cela suffira-t-il pour calmer mon voisin dur de la feuille? Mettons tout de même le volume à un niveau à peine supportable... C'est alors que comme par magie, Yvette horner disparait sous une masse techno volcanique, rappelant les basses amères des premiers Aphex Twin, vomissant des réverbes assourdissantes sur la stéréo qui elle-même donne tout ce qu'elle a..." (Lire la chronique complète)

• Goldie : "Incredible Sound of Drum'n'bass - mixed by Goldie" (Incredible/Columbia/Sony, 1999)
"Une fois n'est pas costume, le pervers pépère qui vit en vous va trouver une B.O. parfaite pour réaliser ses fantasmes les plus insensés sur fond de jungle drum'n'bass pas très joyeuse mais bien boumboumboum sur des tchitchitchi bien clapkeplursh, ceci sans oublier les nappes qui font uuuuuuuuuuuu, iiiiiiiiiiiiiiii, ooooooooooo, wahou..." (Lire la chronique complète)
• Goldie : "Ring of saturn" (Fffr/Barclay, 1998)
"Des titres toujours aussi jungles à en faire palir de peur les bonnes soeurs qui se croiraient toutes droit envoyées dans les abysses de l'enfer" (Lire la chronique complète)
• Goldie : "Saturnz return" (1998)
"Sombre, parfois industrielle, toujours digitale, la jungle de Goldie est complexe et passionnée, difficile d'accès mais remarquable" (Lire la chronique complète)

• Gonzales : «Gonzales ûber alles» (Kitty-Yo/P.I.A.S., 2000)
"C'est peut-être n'importe quoi mais pour moi c'est une évidence: Gonzales a bien assimilé Beck. Comme avec ce dernier sa musique est celle d'un mutant pour qui la pop n'est qu'une matière première à malaxer à outrance afin d'en intégrer des bouts disparates dans des grooves improbables." (Lire la chronique complète)

• GRANT PHABAO : FULL DISCOGRAPHY + MP3z
Dubmeister extraordinaire.

• Grooverider : "Mysteries of funk" (Sony, 1998)
"un petit trésor de drum'n' bass bien sentie et composée par un des maîtres du genre" (Lire la chronique complète)

• Scott Grooves feat. Parliament / Funkadelic : "Mothership Reconnection + Daft Punk remix" (Soma, 1998)
"Qui n'aimerait pas faire de la house sur un morceau crédité 'George Clinton, Bernard C. Worell, Williams "Bootsy" Collins'? C'est un peu facile, quand même" (Lire la chronique complète)

• Hardfloor : "presents X-mix - Jack in the box" (Studio!K7/P.I.A.S., 2000)
"Pour l'ultime volet de la série des X-Mix, le label berlinois !K7 a demandé à leurs compatriotes de Francfort, Hardfloor –connus depuis bientôt 10 ans pour leur morceau «Acperience 1» sorti à l'époque chez (le défunt, ressuscité) Harthouse– de concocter un mix de leurs disques «préférés»." (Lire la chronique complète)

• James Hardway : "A positive sweat" (Substance/P.I.A.S., 1999)
"La solution jungle-jazz à base de saxo s'attaque directement aux jambes, puis au reste du corps, pour vous rendre plus chic" (Lire la chronique complète)

• Ritchie Hawtin : "Decks, EFX & 909" (Labels/Virgin, 2000)
"Si il fallait avoir à choisir entre un disque de Plastikman et un mix de Richie Hawtin, je choisirai le second même si ils ne font qu'un." (Lire la chronique complète)

• Holger Hiller (Mute/Labels, 2000)
"Qui vous a dit qu'au Djouls.com on était bloqué sur nos petits labels adorés et qu'on lorgnait jamais ce qui se passait à côté. On n'est pas des fétichistes merde! On sait aussi apprécier les avaleurs sûres, C'est le cas de Mute qui perdure et en a enterré des styles, de la New Wave à l'életro-minimaliste d'aujourd'hui." (Lire la chronique complète)

• David Holmes : «Bow down to the exit sign» (Go Beat!/Barclay/Universal, 2000)
"Cet homme-là se joue des étiquettes comme un basque de la chistera." (Lire la chronique complète)

• Innerzone Orchestra : "Programmed" (Talkin' Loud/Universal, 1999)
"Notre découverte lobotomique du mois est un très joli album du sieur Carl Craig, alias Innerzone Orchestra, intitulé "programmed"." (Lire la chronique complète)

• J-WALK / MARTIN BREW / STRANGEBREW : FULL DISCOGRAPHY
Orchestral cinematic pop beats & dubs.

• Jazzland : "Remixes" (Jazzland/P.I.A.S., 2000)
"Les traitement rythmiques qui faisaient la richesse du «Sharing/New Conception of Jazz», on ne les retrouve guère ici. Jazzland reste avec une conception très classique du remix: rapprocher les versions originales des dance floors." (Lire la chronique complète)

• Juantrip : "Balmy under the stormy" (Fcom/PIAS, 2000)
"Pas facile de cataloguer un O.V.N.I. musical tel que le dernier opus de nos «freaks électroniques» français, pourtant au delà de tous les préjugés: c'est un disque divertissant, et intéressant sur plusieurs points." (Lire la chronique complète)

• Juryman : "The hill" (SSR/Crammed/Wagram, 2000)
"La colline de la peur... C'est bien celle qu'ils ont dû essayer de gravir, ceux qui ont participé à cet album de «The»" (Lire la chronique complète) "What is a Bernard? Un Bernard n'est pas forcément le dealer de skeuds le plus aimé par les fans de Larusso... C'est plus le gars qu'on va voir, discrètement, fébrilement, pour lui demander la voix dans les chaussettes s'il a pas un truc cool à écouter... et il en a des trucs le Bernard! Des trucs comme Juryman, qui restent un mystère presque entier, même une fois le skeud écouté." (Lire la chronique complète)

• KACTUS HUNTERS : FULL WEBSITE + MP3z
Kactus Hunters = Niktus + Doctor L. / Acid & electronic mixtures.

• Kojak : "Crime in the city" (Pro-Zak Trax/Barcaly/Universal, 1999)
"Kojak, comme pour les dernières productions Pro-Zak (Grant Phabao en particulier) fait dans l'ultra-efficace, l'imparable : "You can't stop it", "Keep me on fire" ou "Hold me" lorgnent vers le son filtré à outrance de Thomas Bangalter l'horrible, référence insupportable, à chier, mais qui marche grave" (Lire la chronique complète)

• Krüder & Dorfmeister : "The K & D Sessions" (Studio !K7/PIAS, 1998)
"Cette compilation sortie à l'automne 98 rassemble la majorité des titres qu'ils ont remixé depuis deux ans, et pour la grande majorité dans des versions largement supérieurs aux originales" (Lire la chronique complète)
• DJ-Kicks : "Kruder & Dorfmeister" (!K7/PIAS, 1998)
"En définitive, on passe un bon moment à décortiquer les sons retravaillés par ces deux amis qui étonnent par leur talent de fumeurs notoires, et cela quoi qu'on en dise" (Lire la chronique complète)

• Krust : "Coded Language" (Talkin' Loud/Mercury/Universal, 2000)
"la machine Talkin' Loud étouffe à vouloir produire du trop bien léché. Résultat: à côté des expérimentations Jazzy d'un Alec Empire ou des orgies rythmiques d'un E-Z Rollers, Krust fait plutôt figure de pépère tranquile." (Lire la chronique complète)

• Lab° : "Dubalgan" (PIAS, 1999)
"Ah, comme il est agréable et doux de se laisser aller au gré des réverbes et delays en tous genres qui parsèment la plupart des albums de dub puisque le dub est comme ça..." (Lire la chronique complète)

• Labradford : "E luxo so" (Blast first/Mute/Labels, 1999)
"Presque pas de rythme, des petites lignes de piano à trois notes, des guitares sorties d'une bande son d'Ennio Morricone, quelques rares cordes et surtout, le vide" (Lire la chronique complète)

• Laidback : "International" (Bolshi/Night & Day, 1999)
"Vous ne sortez jamais en boite, dancing ou autres endroits où le taux de bovins au mètre carré est inégalable et pourtant vous aimez remuer le corps dans tout ce qu'il a de plus souple ou rigide: aucun problème! Munissez-vous au plus vite de "International" puis, invitez des amis, des amies et des amishs, sous le prétexte fallacieux (mais non moins efficace!) de boire un coup à la maison histoire de..." (Lire la chronique complète)

• Leftfield : «Rhythm and stealth» (Columbia/Sony, 1999)
"Bambaata children posse... C'est certes avec un grand retard qu'il faut ici prendre les pincettes les plus fines pour arriver à comprendre ce qui a bien pu se passer dans la tête des Leftfield pour pondre un album pareil." (Lire la chronique complète)

• Leila : "Like weather" (Rephlex/Vital, 1998)
"D'entrée on pense à du Tricky… Ensuite on se dit que Bjork est gravement passée par-là" (Lire la chronique complète)
• Leila : Courtesy of choice (XL/Source, 2000)
"Leila a mis des fleurs dans son jardin. Ça semble un peu plus coloré que la dernière fois qu'elle nous avait invité -en 1998 alors qu'elle louait chez Rephlex- mais on est loin d'être à Honfleur." (Lire la chronique complète)

• LEMONJELLY : FULL DISCOGRAPHY
Candy-flavoured chilled beats and toffees.

• Les Rythmes Digitales : "Darkdancer" (Wall Of Sound/P.I.A.S., 1999)
"On croit être en plein Human League ou un truc cheesy dans le genre" (Lire la chronique complète)

• Lo-fidelity Allstars : "How to operate with a blown mind" (Skint, 1998)
"Lo Fidelity Allstars fait ressurgir des souvenirs de bitures et de défonces en tout genre qui avaient déja noyés nos cerveaux dans un liquide visqueux digne d'une lavalampe" (Lire la chronique complète)

• Massive Attack : "Mezzanine" (Melankolik, 1998)
"Voilà déjà douze ans que Massive Attack habille nos rêves de mélopées planantes, enveloppant ainsi la moindre envie de douceur musicale de notre cortex" (Lire la chronique complète)

• Micronauts : "The jag" (Science/Labels, 1999)
"Un peu de house, ah… non… autant pour moi, c'est de l'electro… ou du hip hop" (Lire la chronique complète)

• Naruhisa Matsuoka : "Hikari-bright East" (Styling/Artefact/Barclay/Universal, 1999)
"Abstract, ok, mais point de hip hop ici, on navigue plutôt à vue dans des vagues 'ambiant' teintées de breakbeats déstructurés" (Lire la chronique complète)

• Maurizio : "M Compilation" (Basic Channel/PIAS, 1999)
"c'est le moment de découvrir l'univers lent et sombre de Maurizio ; l'unité de ton de cette «compil» convient tout à fait à une écoute domestique paisible, ainsi qu'aux réunions de neurones fatigués!!!" (Lire la chronique complète)

• Derrick May : "Innovator" (Transat, 1997)
"Après quelques années d'invasions acid, hardcore, garage, goa, jungle, etc., les classiques de Derrick May sont toujours aussi frais" (Lire la chronique complète)

• The Mighty Quark : "Ian Hendrick's disco" (King Syndrome Sounds/Night & Day, 1999)
"Ce disque ne ressemble à pas grand-chose de connu : une sorte de dub infecté de virus mutants qui suinterai la chaleur humaine renfermée" (Lire la chronique complète)
• The Mighty Quark : «Extraits de l'album The Mighty Quark + Inédits» (King Syndrome Sounds/Night & Day, 2000)
"Mighty Quark nous revient avec ce maxi vinyle édition limitée, avec au menu 2 nouveaux titres en face A et 2 extraits de son album éponyme sorti l'an passé, que nous ne saurons trop conseiller aux amateurs de dub pas réfractaires à l'insertion subtile d'autres sonorités et d'autres grooves électroniques actuels." (Lire la chronique complète)

• Jeff Mills : "Lifelike" (Labels, 2000)
"En feuilletant récemment le "VOICI de la techno", TRAX, j'ai appris que Jeff Mills avait élaboré la compilation d'un de ses labels ("AXIS") avec la collaboration de son psy (!): super! C'est du scoop grave! Merci les gars! Désormais pour apprécier un album techno, il faut avoir quelques notions de la vie privée de l'artiste." (Lire la chronique complète)

• Mogwai : "Come on die young" (Chemikal Underground/Labels, 1999)
"Qui a eu la stupide idée d'oublier de nourrir les Mogwais après minuit? C'est malin, leur nouvel album est tellement gentil, caressant avec tous ses poils qu'on se croirait dans un monde psychédélique babos des années 70" (Lire la chronique complète)
• Mogwai : "Kicking a dead pig" (Chemikal Underground/Labels, 1998)
"C'est idiot. Où est l'intérêt de remixer un groupe dont la musique est déjà en elle même instable, en perpétuelle évolution puisque jouant sur la juxtaposition de murs soniques?" (Lire la chronique complète)
• Mogwai : "Young team" (Chemikal Underground/Labels, 1997)
"Rien de bien nouveau dans la formule : des morceaux atteignants souvent allègrement les 10 minutes, principalement instrumentaux (faut dire que quand ils s'essayent aux voix….), savant dosage de moments très calmes et d'explosions de guitares en furie" (Lire la chronique complète)

• Molesting Laura : "Zinedine" (TIMEC, 1999)
"Un hélicoptère en flammes vient s'abattre sur OK Coral qui n'en finit pas d'exploser sous les assauts d'une bande de grunge qui auraient fait potes avec des rastafaris super défoncés" (Lire la chronique complète)

• Monk & Canatella : "Who's who?" (Cup of tea, 1997)
"Une fois de plus comme pour l'album, les titres voguent entre le hip-hop trip-hop pop-hop, la linéarité de l'album en moins" (Lire la chronique complète)
• Monk & Canatella : "Care in the community" (Cup of Tea, 1996)
"Intéressant mélange de genre que ce "Care in the community". Un hip-hop trip-hop limite easy-listening avec de gros relents de pop dans les mélodies" (Lire la chronique complète)

• Mr Oizo : "Analog worms attack" (Fcom/PIAS, 1999)
" un mélange de hip hop, de bruits, et de déchirures que l'on ne trouve guère que dans la techno. Je met pour la 200ème fois le disque dans la platine et me rappelle en quelques notes que "Flat beat", le morceau de la pub, est surement le moins bon de l'album." (Lire la chronique complète)

Discographie Ninja tune:
Ninja Tune albums :
• ZEN14 - 9 Lazy 9 : "Electric lazyland" (1994)
"Un petit album qui présage déjà d'un son Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN15 - Ninja Cuts Vol. 1 : "Funkjazztical tricknology" (1995)
"La première compile du meilleur de Ninja Tune avec tout le gratin" (Lire la chronique complète)
• ZEN16 - London Funk Allstars : "London funk volume 1" (1995)
"Basés à Londres, ces derniers veulent donner une grande claque au genre hip hop en donnant la version londonienne de la chose" (Lire la chronique complète)
• ZEN17 - Funki Porcini : "Hed phone sex" (1995)
"Le nom résume à lui seul l'intention et les tenant de Funki Porcini : sex, drogue et trip hop" (Lire la chronique complète)
• ZEN18 - The Herbaliser : "Remedies" (1995)
"Posologie: boucles hypnotiques, samples triturés, ambiance jazzy, percussions, claviers, un mg de voix, trompettes, et 3 tonnes de grooves ensorcelants" (Lire la chronique complète)
• ZEN19 - Up, Bustle & Out : "One colour just reflects another" (1995)
"Leur concept novateur dans le genre : mettre en relation directe de la littérature (anglaise et espagnole) et de la musique ultra funk matinée d'une multitude de signaux éthniques différents" (Lire la chronique complète)
• ZEN20 - Dj Food : "A recipe for disaster" (1995)
"Écouter un album du collectif Dj Food, c'est un peu comme se retrouver dans les cuisines du Hilton avec les Marx Brothers en chef d'orchestre" (Lire la chronique complète)
• ZEN21 - Dj Food : "Refried food" (1995)
"Un album entier de remixes fait par des gens qui n'officient pas forcément chez Ninja Tune : en voilà une idée qu'elle est bonne!" (Lire la chronique complète)
• ZEN22 - Ninja Cuts Vol. 2 : "Flexistentialism" (1995)
"Le meilleur du best of de la crème de Ninja Tune : c'est ainsi qu'on aurait pu entendre ce slogan, si cher aux artistes type Sylvie Vartan, retentir pour présenter Ninja Cuts Vol.2" (Lire la chronique complète)
• ZEN23 - Funki Porcini : "Love, pussycats & carwrecks" (1996)
"Ça sent toujours les hormones d'ados mais c'est beaucoup mieux construit" (Lire la chronique complète)
• ZEN24 - London Funk Allstars : "Flesh eating disco zombies vs the bionic hookers from Mars" (1996)
"Un titre parfait pour une B.O. imaginaire d'un film d'aventure dans la grande ville" (Lire la chronique complète)
• ZEN25 - Dj Vadim : "U.S.S.R. repertoire" (1996)
"Le trip hop ultra mou de Dj Vadim rend, cet album qui pourrait ne pas être si mal, soporifique" (Lire la chronique complète)
• ZEN26 - Cold Krush Cuts : "A 60 minutes remix of Ninja tunes back & front catalogue by Coldcut & Dj Food / by Dj Krush" (1996)
"Encore une idée qui fait son chemin : une compile de remixes sublimes des back et front catalogues de Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN27 - Up, Bustle & Out : "Light'em up, blow 'em out" (1997)
"El senor Rudy, aprés avoir tourné un certain temps à travers le monde, revient avec des images pleines de couleurs dans la tête" (Lire la chronique complète)
• ZEN28 - The Herbaliser : "Blow your headphones" (1997)
"Imaginez que l'on vous propose un voyage dans un vaisseau spatial style Star Trek Enterprise, confiné dans une pièce où pousseraient toutes sortes d'herbacés illicites" (Lire la chronique complète)
• ZEN29 - Amon tobin : "Bricolage" (1997)
"Le brésilien de Brighton n'en est pas à son premier coup dans le monde du trip hop expérimental puisqu'il officiait déja sous le nom de Cujo" (Lire la chronique complète)
• ZEN30 - Coldcut : "Let us play" (1997)
"Un album dub, trip hop, hip hop, breakbeat plein d'humour et de slogans écolos pas si bêtes" (Lire la chronique complète)
• ZEN32 - Animals On Wheels : "Designs and mistakes" (1997)
"Il n'existait, jusque là, pas d'album jungle chez Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN33 - Ninja Cuts Vol. 3 : "Funkungfusion" (1998)
"Ce coup-ci, on découvre surtout une structure qui a grossit grâce à l'arrivée de deux sous-labels de Ninja Tune : Ntone et Big Dadda records" (Lire la chronique complète)
• ZEN34 - Kid Koala : "Carpal Tunnel Syndrome" (2000)
"Du scratch, du bonheur, du hip hop, du mix incredible, des yukulélés, des seins, des plages, de l'humour, du n'importe quoi comme on en voudrait souvent, des canards dopés aux acides mous, du delirium, Casimir en slip marron framboise, des dessins, du ninja, du tune, du Ninja Tune..." (Lire la chronique complète)
• ZEN35 - Chocolate Weasel : "Spaghettification" (1998)
"Que cela soit par le trip hop psyché ou par les morceaux electro jazz funk, Chocolate Weasel prend 5 bon points avec cet album qui vous laissera al dente pour une bonne teuf ou pour aller au pieu" (Lire la chronique complète)
• ZEN36 - Amon Tobin : "Permutation" (1998)
"Vous aimez la musique qui fait vlic vlac boum sur fond de titi titi titi shou pâ ba pendant que des cuivres font fiououou ou ou?" (Lire la chronique complète)
• ZEN37 - The Clifford Gilberto Rhythm Combination : "I was so young and I needed the money" (1998)
"Imaginez que vous filiez vos vinyles de Mingus ou de Herbie Hancock (période ultra funk) à un garçon qui fait de la jungle ou du Break beat sous Guronsan" (Lire la chronique complète)
• ZEN38 - The Irresistible Force : "It's tomorrow already" (1998)
"tout ça pour dire que c'est peut-être à cause de ça que Céline (Dion) n'a jamais fait de la jungle ambient chez Ninja tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN39 - Coldcut : "Let us replay" (1999)
"Des grands moments à écouter presque comme un nouvel album si ce n'est qu'ici, ce sont les futurs stars de Ninja Tune qui s'éxercent à l'art de leurs maîtres" (Lire la chronique complète)
• ZEN40 - Funki Porcini : "The ultimately empty million pounds" (1999)
"La musique soft jazzo 007 d'ascenceur convient plus aux innombrables clones de Portishead qu'à un groupe supposé exploser mes neurones" (Lire la chronique complète)
• ZEN41 - The Herbaliser : "Very Mercenary" (1999)
"album quui va devenir plus indispensable que le silence pour vos oreilles" (Lire la chronique complète)
• ZEN42 - Mr Scruff : "Keep it unreal" (1999)
"Alors que vient faire ce disque pour dance-floor sur le label?" (Lire la chronique complète)
• ZEN43 - Dynamic syncopation : "Dynamism" (1999)
"Du hip hop qui se la pète en restant cool but easy..." (Lire la chronique complète)
• ZEN44 - Dj Vadim : "Life from the other side" (1999)
"Quoiqu'il en soit, Dj Vadim est un grand Dj Hip hop qui a su garder ce qu'il avait de bon dans sa musique, y ajoutant un je ne sais de plus lourd dans les productions qui les rendent plus «bouge la tête» que jamais" (Lire la chronique complète)
• ZEN45 - Cinematic Orchestra : "Motion" (1999)
"Dans la même veine modern-Jazz qu'un Amon Tobim, Cinematic Orchestra nous livre de la musique live sur batterie, basse, saxophones trompette et claviers." (Lire la chronique complète)
• ZEN46 - Up Bustle & Out : «Master sessions 1» (Ninja Tune/P.I.A.S., 2000)
"Disons qu'il est tellement tombé amoureux de cette musique cubaine qui a envahi nos ondes que ces jam sessions lui ont donné plein de matière à malaxer, pour en faire ces breakbeats funky en diable et hors de toutes catégories" (Lire la chronique complète)
• ZEN47 - Dj Food : "Kaleidoscope" (2000)
"4 accords de flûtes à la Herbie Mann décuplées à l'infini et DJ Food nous créé des variations chromatiques impressionnistes, toutes droit sortie d'un Debussy." (Lire la chronique complète) "Plutôt que de rester dans la pénombre et dans l'austérité de beats brutes, DJ Food plonge dans la kitsch 60'. Comme s'il avait découvert un passage au bout du tunnel incertain de l'électro et de l'abstract hip-hop, xylophones scintillants et cuivres colorés prennent place." (Lire la chronique complète)
• ZEN48 - Amon Tobin : "Supermodified" (2000)
"Le brésilien Amon Tobin a définitivement fini de s'imposer sur la scène jungle avec ce quatrième album parfait."(Lire la chronique complète)
• The Herbaliser Band : «Session one» (Departement H/P.I.A.S., 2000)
"être expert en sampleurs, scratcher comme un Invisbl Scratch Pickl, fabriquer des boucles imparables et y intégrer des rappeurs de choix, c'est une chose, mais transposer tout ça sur scène alors que les rappeurs en question poursuivent leur carrière de leur côté en est une autre." (Lire la chronique complète)
Sous-label NTONE :
• NTONECD33 - Flanger : "Templates" (1999)
"Comme son nom l'indique, Flanger est un groupe qui passe d'une oreille à l'autre en insistant un peu plus sur le cerveau!" (Lire la chronique complète)
• NTONECD36 - Animals On wheels : "Nuvoli cadira" (2000)
"vous vous souvenez pas d'avoir eu un petit chien-chien ou une giraffe à roulette dans votre prime jeunesse? Et bien si vous n'avez pas perdu votre curiosité de môme, Animals on Wheels vous fera revivre à coup sur ces souvenirs merveilleux d'entant où tout paraissait si grand et si étrange." (Lire la chronique complète)
• NTONECD33 - Flanger : "Templates" (1999)
"Comme son nom l'indique, Flanger est un groupe qui passe d'une oreille à l'autre en insistant un peu plus sur le cerveau!" (Lire la chronique complète)
• NTONECD43 - Hexstatic : "Rewind" (2000)
"Saurai-je seulement décrire quelle vision on pourrait gagner de la vie si l'on écoutait Hexstatic dans les rues? Production complice du Coldcut crew, "Rewind" est une empreinte digitale de Ninja Tune." (Lire la chronique complète)
Ninja Tune Singles :
• ZEN1242 - Up, Bustle & Out : "The dance of the caravan summer E.P."
• ZEN1248 - Coldcut : "Atomic moog 2000"
• ZEN1250 - Funki Porcini : "Let's see what Carmen can do"
• ZEN10kk - Kid Koala : «Scratchhappyland» (Ninja Tune/P.I.A.S., 1997)
"Make 5 or 6 cucumber sandwiches, remove the krust and arrange them attractively around the album. Place your turntable on front of your guests. If the sandwiches fly off the turntable, it is set at the wrong speed, in which case you and your guests will be eating much faster than usual" (Lire la chronique complète)
• ZEN1258 - Coldcut : "More beats and pieces"
• ZEN1265 - Coldcut : "Timber"
• ZEN1275 - East Flatbush Project : "Tried by 12"
• ZEN1278 - The Herbaliser : "Road of many signs" (1999)
• ZEN1281 - The Herbaliser : "The missing suitcase" (1999)
• ZEN1287 - Up Bustle & Out : «Hip hop barrio» (Ninja Tune/P.I.A.S., 1998)
"Premier extrait du premier volume (d'une série de deux) des «Master sessions» de Up, Bustle & Out enregistrées à La Havane et mises en boîte à Bristol, «Hip hop barrio, who's gonna take the weight» est en fait un joli maxi à ne pas confondre avec un mini-album 7 titres." (Lire la chronique complète)
• ZEN1292 - Amon Tobin : "Slowly" (2000)
"Le brésilien Amon Tobin a définitivement fini de s'imposer sur la scène jungle avec ce quatrième album parfait."(Lire la chronique complète)
• ZEN1093 - Kid Koala : «Emperor's main course in cantonese» (Ninja Tune/P.I.A.S., 2000)
"A partir du thème de «The last emperor» écrit et interprèté par David Byrne (ex-Talking Heads, boss du label Luaka Bop), Kid Koala réalise une ballade hip hop enivrante et un tant soit peu déstructurée aux champignons noirs." (Lire la chronique complète)

• Ian O'Brien : "Desert scores" (Ferox / PIAS, 1996)
"Il rompt à sa volonté à merveille boîtes à rhytmes, samplers, et autres synthétiseurs pour nous emmener dans un chil-out club au milieu du désert" (Lire la chronique complète)

• The Odd Toot : "Mental money" (Recordings of Substance/P.I.A.S., 2000)
"Autant certains artistes Substance ont su gravé une identité sonore et visuelle forte comme James Hardway, autant d'autres semblent toujours se chercher. C'est le cas de The Odd Toot avec cet album aussi éclectique qu'impersonnel." (Lire la chronique complète)

• Discographie du label Pamplemousse
"La scène électronique française a connu ces cinq dernières années une multiplication de labels indépendants, qui à court et moyen termes ont disparu ou sont tombés dans le «panier» des majors compagnies. D'autres pourtant ont subsisté dans l'underground, pour s'intéresser au développement de la musique électronique, et continuent à nous livrer régulièrement de singulières galettes. Oscillant entre hip-hop, techno, house, et électro, PAMPLEMOUSSE PRODUCTIONS est de ces labels anti-modes, qui dédaigne la hype pour de concentrer sur l'essentiel: l'expérimentation sonore" (Lire la discographie complète)

• Pan American : «360 business/360 bypass» (Blast First/Mute/Labels, 2000)
"Cet américain fait le lien outre-atlantique avec les récentes expérimentations electro-très-dubesques anglaises et allemandes (Mighty Quark, Pole, Burnt Friedman, Maurizio, Chain Reaction, etc.). Ça y est les grooves nonchalents et enfumés envahissent toute la planète." (Lire la chronique complète)

• Peace orchestra (G-Stone/Discograph, 1999)
"une cuvée organique "Peace Orchestra 1999" ambient dub downtempo, que nous ne saurions trop vous conseiller pour vos séances collectives de relaxation roulée." (Lire la chronique complète)

• Percy X : «Gain» (Soma/Labels, 2000)
"Percy X alias Tony Scott –producteur efficace en qualité et en quantité, ainsi qu'excellent Dj– accouche d'un album carré (genre 30x30cm), percutant et toujours dansant." (Lire la chronique complète)

• Peshay : "Miles From Home" (Blue/Island/Universal, 1999)
"Peshay est un Dj incroyable dont on n'arrive jamais vraiment à se souvenir s'il vient de l'écurie Metalheadz de Goldie (tendance jungle-drum'n'bass), ou du label Mo' Wax de James Lavelle/U.N.K.L.E. (tendance abstract hip hop)." (Lire la chronique complète)

• Grant Phabao : "Tub" (Pro-Zak Trax, 1998)
"Pro-Zak Trax nous balance à la tête ce monstre de BoumBoum sans rien nous dire sur les conséquences qu'un tel acte peut avoir sur nos neurones" (Lire la chronique complète)

• Photek : "Form & function" (Science, 1998)
"Il n'y a pas vraiment de surprises par rapport au "Modus Operandi" de 1997 et aux productions Metalheadz (label de Goldie) sorties depuis, mais c'est toujours la même jungle de précision chirurgicale et de découpages expérimentaux que l'on adore, avec ce son métallique ambiance science-fiction, cette haute technicité employée dans des sphères musicales bien définies" (Lire la chronique complète)
• Photek : "Modus Operandi" (Science, 1997)
"Lent, deep, jazzy, drum'n'bass, electro, techno... peu importe. Rupert Parkes, alias Photek, adore disséquer les rythmes" (Lire la chronique complète)

• Plastikman : "Artifakts (bc)" (Mute/Labels, 1999)
"Les influences à la fois Kraftwerk, Techno de Detroit, et période africaine d'Herbie Hancock (69-72) orientent Richie Hawtin (c'est son nom) vers des recherches sonores percutantes" (Lire la chronique complète)

• Pole : "2" (Kiff/Matador/P.I.A.S., 1999)
"Stefan Betke, ingénieur du son du label Chain Reaction, a ici produit pour Matador Records un petit mini-album bien ambient dub sur lequel on a saupoudré d'une pincée de petits bruits techno bien Autechre" (Lire la chronique complète)
• Pole : «3» (Kiff/P.I.A.S., 2000)
"Le signe distinctif de Pole, sa raison d'être en tant que Pole, en fait, provient d'un accident: un jour Stefan laissa tomber un filtre Waldorf 4-pole (d'où le nom de Pole), et lorsqu'il le rebrancha certains composants étaient cassés, et les sons qui en sortaient, qu'il s'empressa de sampler, était composés de ces craquements et autres scrutchs sonores..." (Lire la chronique complète)

• Portishead : "Roseland NYC live" (Go!Beat/Polydor, 1998)
"Pas grand chose à dire. Le disque est vraiment top (si vous aimez Portichède euh... Porticède euh... Portishead)" (Lire la chronique complète)

• PROFESSOR OZ : FULL DISCOGRAPHY + MP3Z
Professor es-deepness & electronic grooves.

• Propellerheads : "Decksandrumsandrockandroll" (Wall of Sound, 1998)
"C'est aussi puissant et efficace que le "Block rockin' beats" des Chemical brothers, mais avec le panache en plus, la petite touche de classe qui fait la différence" (Lire la chronique complète)
• Propellerheads : "Extended play E.P." (Wall of Sound/P.I.A.S., 1998)
"Rien de bien nouveau, bien sûr, mais un terrain accidenté qui pourrait les inspirer (les Jungle Brothers) pour leur prochain album" (Lire la chronique complète)

• "Compilation Pro-Zak Trax" (Pro-Zak Trax/Barclay, 1999)
"cette compile dépasse le cadre de la disco funky housesque, et déborde de diversité musicale allant du dub le plus roots à la house la plus hard, en passant par le house hip hop funk de Kojak." (Lire la chronique complète)

• Stacey Pullen : "Dj Kicks" (!K7/PIAS, 1999)
"Stacey Pullen se distingue également par ses talents de Dj qu'il nous prodigue dans cet extrait de l'excellente série des Dj Kicks: le mix est travaillé, propre, les morceaux se succèdent rapidement, l'envie de danser (ou de bouger la tête) vous prend très rapidement, les temps morts ne sont là que pour apaiser quelque peu la déferlante de bpms." (Lire la chronique complète)

• Receiver : "Chicken milk" (Cup of tea, 1998)
"Du pur trip-hop totalement spatial, comme tout bon son de Bristol qui se respecte" (Lire la chronique complète)

• Rhythm & Sound w/Tikiman : "Showcase" (Burial Mix/PIAS, 1999)
"Le travail accompli sur les ambiances, les climats, et les textures sonores font de ce disque un alien inclassable et intemporel, sompteux et authentique" (Lire la chronique complète)

• Romanthony : "R.Hide in plain site" (Glasgow Underground/PIAS, 2000)
"He's BLACK! He's PROUD! Romanthony artiste et fondateur du label Black Male Records, n'est pas de ces opportunistes qui s'intéresse depuis peu au coté soulful de la house." (Lire la chronique complète)

• Kevin Saunderson : "presents x-mix - Transmission from deep space radio" (Studio!K7/P.I.A.S., 2000)
"pour les besoins de la série des «X-mix», on le retrouve derrière les platines de l'émission de radio de Juan Aktins pour un set impeccable. On entend qu'il y a quand même pas mal de post-production, mais le résultat est un bonheur auditif" (Lire la chronique complète)

• Sidestepper : "Logozo" (Apartment 22, 1998)
"La voix sonne comme du ragga anglais, et l'espèce de breakbeat/sound system ultra-efficace et infra-basses est imparable. Tout le monde est en transe, en chaleur et en mouvement à la fois" (Lire la chronique complète)

• Silicon Soul : "...A soul thing" (Soma/Labels, 2000)
"Les sorties du label Soma se suivent et ne se ressemblent pas, après la techno sans concession des Space Dj'z, voici la house filtrée et aérienne de Silicon Soul" (Lire la chronique complète)

• Talvin Singh : "OK" (Island/Universal, 1998)
"Au début, l'album est trop dense pour être compris, il ne comprend pas une seule chanson type couplet/refrain, les sonorités digitales fusionnées à celles de l'Inde traditionnelle déroutent, puis le constat s'impose : génial" (Lire la chronique complète)

• Luke Slater : "Wireless" (Mute/Labels, 1999)
"Imaginez-vous perdu sur une mer démontée, entouré par des requins à gueule de Richard D. James, pendant qu'Autechre bouffent les rames d'une barque nommée Chemical. La mer, elle, s'appelle "Wireless"!" (Lire la chronique complète)

• Smith & Mighty : «Bass is maternal» (More Rockers 1995/Studio!K7 2000/P.I.A.S.)
"Ce "Bass is maternal" sorti plus que discètement, soit dans l'indifférence générale, en 1995 sur le label More Rockers, serait lui le testament de l'influence majeure des Smith & Mighty sur toute la scène bristolienne qui s'ensuivit... Oui oui et mon cul c'est du poulet." (Lire la chronique complète)

• Sofa Surfers : "Cargo" (A:head, 1999)
"Les ambiances torturées, les rythmiques implacables d'un batteur jazy-funk, les bonnes grosses basses, les harmonies barrées et surtout, une superbe et énorme surprise à l'arrivée: tout y est pour consacrer cet album comme un des plus trippant du moment" (Lire la chronique complète)
• Sofa Surfers : "Beans & rice" (maxi, a:head, 1999)
"Pourquoi ne pas s'affaler encore une fois sur le canapé volant de fabrication autrichienne qui nous est offert si purement par cette bande de dégénérés du dub qu'on appelle les Sofa Surfers?" (Lire la chronique complète)
• Sofa Surfers : "Transit" (MCA, 1998)
"L'album "Transit" des Sofa surfers est un démenti formel à la thèse qui dit qu'il faut donner une étiquette à une musique pour la comprendre. Quelle que soit notre culture musicale, on ne peut pas rester indifférent aux superbes sonorités d'un album tellement accompli" (Lire la chronique complète)

• Squarepusher : "Feed me weird things" (Rephlex/Import UK, 1996)
"Suc digestif pour acide détrempé... Voili, voilà, voilou, encore un album de Squarepusher qui va décaper plus d'une oreille." (Lire la chronique complète)

• Stardust : "Music sounds better with you" (Virgin, 1998)
"POUM POUM Oh Bébé c'est du foutage de gueule" (Lire la chronique complète)

• State Of Bengal : "Visual audio" (One Little Indian/Labels, 1999)
"ce fameux 'père fondateur', je sais bien qui c'est réellement, je le connais, il collait des trips dans les whisky-coke de ses clients du 'Jabalpur Discoshra' pour qu'ils s'éclatent toute la nuit durant de la nuit qui durait sur sa dance pakistano-anglaise ou le contraire" (Lire la chronique complète)

• Stereo MC's : DJ-Kicks (K7!/P.I.A.S., 2000)
"Ils s'étaient fait oublié pendant 5 ans et nous reviennent avec un vrai florilège de MC pour K7!. En 25 titres, ils nous démontrent qu'ils n'ont pas volé leur gloire passé sur les dance floors." (Lire la chronique complète)

• Substance : "Session elements" (Chain Reaction/PIAS, 1999)
"Il est évident que certains de ces morceaux, comme le "Relish original", sont de véritables appels à la consommation ultra massive d'anti-dépresseurs naturels aux vertus hallucinatoires" (Lire la chronique complète)

• Superfunk : "Hold-up" (Fiat Lux/Labels, 2000)
"Menteurs! Superfunk qu'ils disent... en réalité on a plutôt affaire à des enfants mongoliens de Cassius, des fils dégénérés de Daft Punk, des rejetons improbables de Bob Sinclar, voire un chapelet de pets sussurés dans l'obscurité par Kojak (pas le chauve)." (Lire la chronique complète)

• Tarwater : «Animals, suns & atoms» (Kitty-Yo/Tripsichord, 2000)
"Cet album ressemble plus à l'idée littérale que l'on se fait du trip hop: tout d'un coup dans la même pièce ce sont Kraftwerk, le Velvet et Tortoise qui se rencontrent... amicalement, tout en douceur réchauffante et émouvante." (Lire la chronique complète)

• Third Eye Foundation : "Little lost Soul" (Mute/Labels, 2000)
"Matt Elliott est aujourd'hui le seul à allier romantisme et musique électronique. Alors que depuis bientôt 10 ans, la techno des free parties -du hardcore à l'acid- suivie par la drum & bass véhiculent une cosmogonie post industrielle anarchique où la technologie survit au sein de la nature; que depuis 5 ans l'électro minimaliste continue son avancée -de Vienne à New York, de Paris à Helsinki- sans autre but que la recherche brute de nouvelles textures sonores, les maîtres d'œuvre des musiques électroniques avaient oublié de penser au passé. Il est vrai qu'entre des rythmiques de transe et des sons qui passent du quasi ultrason à l'infra-basse dans la seconde, il est difficile de ressentir ce doux et triste sentiment qu'est la mélancolie." (Lire la chronique complète)

• Titan : "Elevator" (Source/Virgin, 2000)
"TITAN c'est GEANT! Celle là est un peu facile je l'avoue, mais écoutez l'album et vous comprendrez... Une synthèse du rock alternatif, du big beat, d' easy listening, de flamenco, de hip hop, de soul, de funk, d'electro..." (Lire la chronique complète)

• Tortoise : "TNT" (City Slang/Labels, 1998)
"Ce qui définit le son Tortoise, à savoir un jazz-groove electronico acoustique, se trouve ici complété par des cuivres, violons et instruments à vent" (Lire la chronique complète)

• Tosca : "Suzuki" (G-stone/PIAS, 2000)
"Le nouveau projet de R. Dorfmeister (moitié de Krüder & Dorfmeister), est le genre de disque que l'on peut écouter tout le temps, en n'importe quelle occasion et avec n'importe qui, enfin presque!" (Lire la chronique complète)

• Tranquility Bass : "Let the freak flag fly" (1997)
"Ses influences tiennent autant du funk, de la disco, du folk et du rock, à travers des territoires inexplorés de la musique électronique actuelle. Le résultat ressemble à du trip-hop teinté de country et de blues!" (Lire la chronique complète)

• Compilation Tresor 136 : "Annex 3" (Tresor/PIAS, 1999)
"La série de compilations "Annex" regroupe en effet le meilleur de la crème des références Tresor 1999 disponibles uniquement en vinyle. Ainsi ce CD ne contient que des inédits en CD! Bon, vulgairement c'est une compile." (Lire la chronique complète)

• Tricky with Dj Muggs & Grease : "juxtapose" (Island/Universal, 1999)
"Ce n'est plus une heure (voire plus) de psycho-tripatouillages sombres et soniques comme à l'époque de «Nearly God» ou «Pre-Millenium tension». Tricky aurait vu la lumière?" (Lire la chronique complète)
• Tricky : "Angels with dirty faces" (Island, 1998)
"Tricky signe un quatrième opus en dessous de ce qu'on en attendait" (Lire la chronique complète)
• Tricky presents Grassroots (Payday / ffrr, 1998)
"Tricky aussi a voulu changer deux trois petites choses avec ce maxi de remixes et d'inédits de ses prods ou co-productions" (Lire la chronique complète)

Discographie Ubiquity Records:
• Bobby Matos : "Live at Moca" (Cubop/Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Pour le genre musical, reprenons la formule consacrée au centre de la pochette qui définit le groupe comme un "Afro Latin Jazz Ensemble"… J'ajouterai "Mambo" mais c'est tout de suite moins classe: Afro Latin Jazz Ensemble Mambo" (Lire la chronique complète)
• P'Taah : «Compressed light» (Ubiquity/Night & Day, 2000)
"Un album animé de grandes i'dééhs... et vous en aurez pour votre argent, croyez-nous... Si le sobriquet onomatopesque de cet artiste vous laisse perplexe, peut-être qu'Ubiquity vous raffraichira la mémoire..." (Lire la chronique complète)
• Presage : "Outer perimeter" (Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Trip hop en diable... Nosferatu, Belzebuth, Astaroth et autres démons de l'enfer vont être ravis: Presage annonce l'arrivée imminente des 13 chevaliers de l'apocalypse: ça va twister dans les chaumières." (Lire la chronique complète)
• T-Cisco : "The destructive edit" (Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Le don d'ubiquité c'est de pouvoir se retrouver à différents endroits au même moment... et donc de faire plusieurs choses en même temps: mais ne vous méprenez pas car il ne s'agit pas de descendre un escalier en machant un chewing-gum au poivre, non, non, il s'agit de bien autre chose: il s'agit de jouer de tellement d'instruments qu'on peut faire un album quasi-ment seul." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Subjugués par les sets Latinaires de Beatless -Alex Attia de Catalyst, Bel Air et Paul Martin de Talkin Loud- qui sévissent à Londres, Ubiquity demandent, fin 1998, à plusieurs producteurs spécialistes du clubbing, d'extraire ce que les musiques latines font de plus efficace pour les dancefloors"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires 2" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Ubiquity propose avec ce 2ème volet des "New Latinaires" de nouveaux itinéraires pour de nouvelles latitudes latines"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires 3" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"A croire que Ubiquity suit désormais à la trace Gilles Peterson: le label de San Francisco a décidé de surfer sur la vague worldwide"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "No Categories" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"En voilà une compilation qu'elle est bien pensée. 2 disques: un premier pour inviter des artistes trop rarements réunis alors que complémentaires comme Thievery Corporation et Rainer Trüby, et un second réservé aux gens du crew West Coast: Up Bustle & Out, Mr Scruff ou Skyjuice"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "No Categories 2" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Qu'il s'agisse du 2ème volume des "New Latinaires" ou de ce "No Categories 2", on observe désormais le même recours exclusif aux artistes maison. Plus de Ninja, ni de Compost dans l'escarcelle; que des sociétaires de Ubiquity, Cubop ou Luv N'Haight"(Lire la chronique complète)

• Various Artists : «Caipirissima - Batucada electronica» (Caipirinha/P.I.A.S., 2000)
"Attenzion! Attenzion! Ce disque est d'apparence excessivement trompeur: "Caipiríssima - Batucada electronica". Oulala, comme dirait l'autre, ça à l'air tranquille ça. On va se mettre ça dans la platine pour l'apéro au soleil, ça doit être bien revigorant, Brragil Brragil, tout ça, schweppes et jolies filles bronzées, plage et farniente, carnaval et danse..." (Lire la chronique complète)

• Various Artists : «Deutscher funk 002» (Caipirinha/P.I.A.S., 2000)
"Un allemand ex-second couteau super à la mode qui compile l'avant-garde électronique allemande sur un label américain new-yorkais avant-gardiste de pointe: faut voir..." (Lire la chronique complète)

• Various Artists : «People... make the world go round» (People/Discograph, 2000)
"Hum... la belle fusion house jazz funk afro and drum que voilà, ce double-CD va être parfait pour prendre l'autoroute!" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : "Playground Vol.4 - Loco Grooves from the Sunny Side... Mixed & compiled by Madrid de los Austrias" (Eccochamber/Discograph, 2002)
"Dj Zonaste et Pogo, membres actifs du laidback paisible, agissant parfois sous le couvert de leur pseudo «Madrid de los Austrias» se fendent ici d'une impeccable sélection de 15 titres (dont 5 remixes) pour vous présenter "Playground Vol.4" qui est loin d'être une compile «downtempo/lounge» supplémentaire" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : «Tresor compilation vol.8» (Tresor/P.I.A.S., 2000)
"Inutile de reparler ici du mythique (et toujours aussi productif) label berlinois Tresor qui réunit des artistes de nationalités diverses dans un unique but: donner aux technophiles de la vrai techno!" (Lire la chronique complète)

• Vladislav Delay : "Mutila" (Chain Reaction/P.I.A.S., 2000)
"Tiens, voilà de la musique électronique à fumer! Bienvenue chez Vladislav Delay, prince des gens fatigués qui n'ont pas sommeil. Récemment repéré dans l'épilogue du mix de R.Hawtin («Decks, EFX...»), alors qu'il avait déjà sorti un maxi («The Kind of Blue E.P») sur le label Huume Records, il sort, cette année, un album «concept» sur Chain Reaction, un des nombreux labels «griffé» Maurizio" (Lire la chronique complète)
• Vladislav Delay : «Entain» (Mille Plateaux, 2000)
"Ambiantage amianté... Si vous êtes du genre à tatonner de temps à autre sur des logiciels de son, peut-être tomberez vous, comme le Vladislav susdit, accro aux effets de consoles en tous genres... Leçon n°1: le delay." (Lire la chronique complète)

• Luke Vibert & BJ Cole : «Stop the Panic» (Cooking Vinyl, 2000)
"là nous sommes en plein apéro/grosse teuf sur une plate-forme spatiale, en orbite quelque part. Et oui cette fois notre jedi de service s'est vu rejoindre par un monsieur fort convaincu par ses travaux sous le pseudo Plug. Le type en question: BJ Cole. Qui ça???" (Lire la chronique complète)

Discographie Warp records:
Warp Albums:
• WARP92 Aphex Twin : "Drukqs"
"AAAAAAAAAAhhhhhh, qu'ils auront été gonflants les déçus d'Aphex twin, comme si Mr. Richard D. James se devait de faire du "Windowlicker" toute sa vie!" (Lire la chronique complète)
• WARP128 Autechre : "Confield"
"Barrage en couille ultime pour les deux anglais les plus canins de l'electronica on the rocks: "Confield" est le lien manquant entre free jazz et electro."(Lire la chronique complète)
• WARP86 Chris Clark : "Clarence park"
"Mais qui peut bien être cet olibrius qui ne possède aucun lien avec Gabble? A écouter cet album, on pourrait presque croire que le fils de Richard D. est né..."(Lire la chronique complète)
• WARP80 Savath & Savalas : "Folk songs for trains and honey"
"Pour ne pas déroger à la coutume, Warp nous fait profiter de Scott Herren (aka Savath+Savalas) dans l'exercice de l'album que Mo'Wax aurait pu sortir."(Lire la chronique complète)
• WARP76 Jimi Tenor : "Out of nowhere"
"Warp a misé sur Jimi Tenor pour tenir sa boutique Pop. Connaissant le label de Sheffield, ils ne risquaient pas de nous présenter de la Pop colorée à l'électro."(Lire la chronique complète)
• WARP72 Squarepusher : "Selection sixteen"
"La musique de Squarepusher se développe comme un serpent perdu dans un bol géant de cornflakes" (Lire la chronique complète)
• WARP69 Warp 10+1 : "Influences" (Warp/Source, 1999)
"Au début il y avait... Premier volet des trois disques anniversaires de Warp, le label électronique anglais le plus déjanté et expérimental de la planète, "Influences" est le pourquoi du "comment Warp est né?"." (Lire la chronique complète)
• WARP68 Warp 10 + 2 : "Classics" (Warp/Source, 1999)
"Les titres présentés ici datent des débuts de Warp, durant les années 1989-1992, et regroupent tous les meilleurs titres de leurs 10 premières références (WAP1-20)." (Lire la chronique complète)
• WARP67 Warp 10 + 3 : "Remixes" (Warp/Source, 1999)
"Le retour du jedi, façon Warp: sans les Ewoks... Troisième et dernier volet, donc, de la fantastique aventure de «je m'apelle Warp, j'ai dix ans et j'le fête!». Pour cloturer cette trilogie extraordinaire, le label de déstructuration neuronale anglais propose une compilation des meilleurs remixes des morceaux de ce dernier." (Lire la chronique complète)
• WARP66 Autechre : "LP 5"
"Une alchimie magique qui donne une version sonore de l'inconscient" (Lire la chronique complète)
• WARP65 Broadcast : "The noise made by people"
"A l'écoute de la voix nonchalante de Trich Keenan dont la diction n'est pas sans rappeler la pop répétitive de Stereolab, on pourrait s'attendre pour cette signature Warp à des boucles rondement menées, mais il n'en est rien. Broadcast cuisine des compositions classiques -couplet, pont, refrain- nappées de claviers analogiques." (Lire la chronique complète)
• WARP64 Plone : "For Beginner Piano"
"Pas encore chroniqué" (Lire la chronique vraiment incomplète)
• WARP63 Plaid "Rest Proof Clockwork"
"Un duo sympa, tout droit sorti des enfers de WARP pour le plus grand plaisir des accros au breakbeat sous toutes ses formes et même en cube s'il le faut" (Lire la chronique complète)
• WARP62 Squarepusher "Budakhan Mindphone"
"Ce mini-album explore l'univers du trip hop dans ses recoins les plus jazz, les plus free, les plus ambiant et les plus décalés" (Lire la chronique complète)
• WARP61 Nightmares On Wax "Carboot Soul"
"Si vous avez bien usé vos oreilles sur "Smoker's delight", et que vous en voulez encore, et bien voilà ce qu'il vous faut" (Lire la chronique complète)
• WARP60 Jimi Tenor "Organism"
"Le kitsch et la dérision sont de mise. Jimi Tenor affiche une douce mégalomanie qui est plus proche des délires d'une Pop star à la recherche de son identité que de la discrétion et des éponymes du monde de la musique électronique."(Lire la chronique complète)
• WARP59 Stereolab "Aluminium Tunes"
• WARP58 Two Lone Swordsmen "Stay Down"
"Il ne faut pas oublier que l'on parle ici de musique électronique expérimentale et surtout vachement ambant comme presque seul Warp sait en faire" (Lire la chronique complète)
• WARP57 Squarepusher "Music Is Rotted One Note"
"5ème album, donc, plus jazz-rock que drum'n'bass et plus calme par rapport aux précédents opus, mais toujours aussi tordu, mais avec un soupcon de Stevie Wonder (pour les claviers vintage et certains grooves) dans sa cuisine Aphextwiniesque" (Lire la chronique complète)
• WARP56 Red Snapper "Making Bones"
"Un hybride de jazz, pop, jungle, techno, drum'n'bass et ambiances cinématographiques qui, après "Reeled & skinned" en 95 et "Prince Blimey" en 96, nous prouve que Red Snapper a bien sa place chez Warp" (Lire la chronique complète)
• WARP55 Boards of Canada "Music Has The Right..."
• WARP54 Plaid "Not For Threes"
"À la fois éclectique et homogène, minimal et fourmillant, techno et electro, complexe et abordable, on pourrait le classer... allez entre Ian O'Brien et Aphex Twin!" (Lire la chronique complète)
• WARP53 Squarepusher "Burningn'n tree"
"Cet 'album', sorti en Octobre 97 regroupe en fait 7 parmi 11 titres issus de deux maxis sortis uniquement en vinyle chez Spymania en Novembre 95 et Mars 96 et trois inédits" (Lire la chronique complète)
• WARP51 Autechre : "Radio mix"
"Pure production de chez Warp, Autechre est un duo déconcertant qui offre à sa musique électronique la possibilité de s'épanouir dans le sado-masochisme sonore le plus complet."(Lire la chronique complète)
• WARP50 Squarepusher "Hard Normal Daddy"
"En 12 compositions bien barrées, Tom Jenkinson (Squarepusher, c'est lui, tout seul) malaxe et triture en speedant au maximum electro, drum'n'bass et jungle qu'il mélange à des ambiance free-jazz et des nappes apaisantes" (Lire la chronique complète)
Warp Singles & EPs:
• WAP155 Squarepusher : "Untitled"
"Même si de prime abord ça peut sentir l'arnaque, c'est quand même bien, pour un inconditionel de Squarepusher, de s'acheter ce vinyl un titre une face qu'on trouve pour très cher n'importe où, du moment qu'on y vend du Squarepusher très cher" (Lire la chronique complète)
• WAP132 Broadcast "Come on let's go"
"Pour les collectionneurs, hormis le premier titre, tous les autres sont inédits par rapport à l'album." (Lire la chronique complète)
• WAP130 V.L.A.D. "Motion institute"
"Faut-il le jouer en 33 tours ou en 45 tours? Ce premier maxi du français V.L.A.D. chez Warp est plutôt curieux: en 33t ça ressemble plus à un hybride de Human League, de New Order et de Plaid, alors qu'en 45t on se rapproche du «Windowlicker» d'Aphex Twin, à des années-lumière bien sûr, mais ce n'est déjà pas si mal."(Lire la chronique complète)
• Warp WAP128 Ko-Wreck Technique "The Ko-Wrection EP" (Warp/Source, 2000)
"Si seulement les rappeurs francais avaient la Ko-wreck technique, il n'accuseraient pas un retard considérable sur ceux qui en viennent déjà à créer une musique mutante, née de l'union des rythmes hip hop à l'habillage de la techno ambient" (Lire la chronique complète)
• WAP126 Two Lone Swordsmen : "A virus with shoes" (Warp/Source, 1999)
"Une fois n'est pas costume et pierre qui roule ne fait pas le moine, voilà un disque qui éprouvera vos neurones au plus haut point: normal, c'est du Warp!" (Lire la chronique complète)
• WAP125 Broadcast "Echo's Answer"
"Premier extrait de l'album «The noise made by people», «Echo's answer», comptine pop et sans rythme, évoque le fantôme de Nico (pour les incultes: la fille qui chante sur le premier album du Velvet Underground) et porte très bien son nom: on croit juste entendre une réponse à la réponse d'un écho." (Lire la chronique complète)
• WAP123 Nightmares On Wax "Finer"
"Un nouveau maxi single de nos cousins grand-bretons de chez Warp, qui donnent pour le coup dans le remix efficace à mort… et c'est du hip hop en plus" (Lire la chronique complète)
• WAP122 Squarepusher "Maximum Priest EP"
"Pour ceux qui n'auraient jamais entendu du Squarepusher, il faut tout de même préciser que cela se rapproche plus de Aphex Twin ou Autechre que de… n'importe qui d'autre en fait!" (Lire la chronique complète)
• WAPEP7 - Autechre "EP7"
"Comme le grand mystère des pyramide en chocolat, la musique d'autechre est une construction mystérieusement mystérieuse..." (Lire la chronique complète)
• WAP119 Plaid "Peel Session"
"La palette sonore de Plaid s'est élargie ("Cold" évoque un mélange chaud-froid-machine à écrire) et ils accrochent plus facilement l'auditeur de grooves plus actuels que les rythmes intemporels de "Not for threes", leur précédent opus" (Lire la chronique complète)
• WAP117 Slum "Twilight Mushrooms"
"Ce petit 45 tours pas facile à dénicher mais disponible tout de même semble de premier abord provenir d'une résurrection actuelle du défunt label Sarah records, expert en pop-songs cristallines descendantes des Smiths." (Lire la chronique complète)
• WAP115 Black Dog : "Peel session 13/01/95" (Warp/Source, 1995)
"En direct live des abysses du tréfonds de vous même en votre fort intérieur tout miteux, Warp sert encore le dessert avec un nouveau chapitre des Peel sessions qui, plus qu'une émission radio, devraient donner leur nom a une drogue hallucinogène de première catégorie." (Lire la chronique complète)
• WAP114 Boards Of Canada "Peel Session"
"En fait, un trip hop acharné ponctue des vagues de sons bien ambient à souhait qui scotcherait n'importe quel musicien de polka sous acide" (Lire la chronique complète)
• WAP112 Autechre "Peel Session"
"D'une vague à une autre, on nage au milieu d'une marée électronique, un champ hertziens d'informations pas naturel et de petits bruits coupés en tranches" (Lire la chronique complète)
• WAP107 Plone "Plock"
"Ô ciel!… du WARP dans mes corn-flasques! 3 titres qui valent le détour et leur pesant de cacahuètes au chèvre" (Lire la chronique complète)
• WAP105 Aphex Twin "Window Licker"
"Ce gars construit une musique exceptionnellement personnelle, tellement ‘autre' que ça m'ennuie presque de le voir scotché dans les chroniques techtech" (Lire la chronique complète)
• WAP100 We Are Reasonable People
"En fait, les grosses claques viennent plutôt du côté des petits nouveaux comme Plone ou Broadcast dont les titres sont franchement prometteurs" (Lire la chronique complète)
• WAP94 Aphex Twin "Come To Daddy"
" Constamment expérimentale, déjà la musique du futur" (Lire la chronique complète)

• Josh Wink : "Profound sounds Vol.1" (Ovum/Ruffhouse/Columbia/Sony, 1999)
"Youpi! Josh Wink! Vous connaissez Josh Wink? Bien sûr que vous connaissez Josh Wink. Qui ne connaît pas Josh Wink?" (Lire la chronique complète)