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groove funk hip hop reggae world


TOUTES les chroniques Groove:

• A.D.O.R. : "Shock frequency" (Tru Reign/Uppercut, 1998)
"Variant des morceaux hardcore à la Method Man aux cools grooves limite Isaac Hayes faisant du rap, A.D.O.R. finit par convaincre que le rap n'a pas forcément qu'une facette quand on en fait son métier" (Lire la chronique complète)

• Afro-Celt Sound System : "Volume 2 : release" (RealWorld/Virgin, 1999)
"
Les vikings sont des nightclubbers congolais!" (Lire la chronique complète)

• Afro-Cuban All Stars : "A Toda Cuba le Gusta" (World Circuit, 1997)
"Même s'il n'est pas tout aussi merveilleux et lumineux que le "Buena vista Social Club" produit par Ry Cooder, "A toda Cuba le gusta" fera briller de tous ses feux le soleil de Cuba sur vos platines." (Lire la chronique complète)

• All Mighty Senators : "Raw power live!" (Phoenix presents, 2000)
"Les All Mighty Senators, bien vivants eux, jouent d'un funk saturé, puissant et rigolo (comme Frank Zappa savait l'être). Fidèle à l'esprit de Sly Stone, le groupe est mixte blacks/blancs et il représente fièrement et réellement la musique de Washington DC: on y cause cul, aliens, mère nature, vibrations... Groovy baby!" (Lire la chronique complète)

• Horace Andy : "Living in the flood" (Melankolik/Delabel, 1999)
"ce disque s'inscrit dans cette tradition roots dont Horace Andy fut l'un des vocalistes particulièrement en vue dans les années 70" (Lire la chronique complète)

• "Asphodelic" (compilation Asphodel/Import US)
"Une compile n'est pas forcément une pile de con ! Quelquefois, la compilation est un outil de communication important pour informer la population des jeunes drogués qu'on s'occupe de leurs loisirs" (Lire la chronique complète)

• Erikah Badu : "Baduizm live" (Universal, 1997)
"En concert, ça tourne tout seul comme un classique de soul et de R&B, black et fier de l'être" (Lire la chronique complète)

• Beastie Boys : "Hello nasty" (Grand Royal/EMI, 1998)
"Alors qu'on ne s'y attend pas, alors qu'on y croit plus, que tout semble dénué d'intérêt, voilà qu'ils reviennent comme avant... DÉBILES!" (Lire la chronique complète)

• The Big Payback : "Deep funk & rare groove classics" (Clubmastres/Sound & Media Ltd/Import Gibert, 1999)
"Oh! La belle boî-boîte. 4 CDs de 'deep funk & rare groove classics' pour… 115 Francs! Voilà qui est parlé" (Lire la chronique complète)

• Blackmoon : "War zone" (Priority/Virgin, 1999)
"En tous cas, musicalement, on comprend pourquoi nos amis les censeurs ont du se laver les oreilles à coup d'eau bénite tant le son produit par cet album est diabolique" (Lire la chronique complète)

• Blaxploitation : "Vol.4 - Harlem hu$tle" (1999)
"Déjà 4 volumes et personne ne prévient! Pendant des années, on nous a abreuvés de compilations soul, Motown, Stax, Atlantic… Alors que dans nos cœurs désillusionnés, c'est le funk 70's qui règne" (Lire la chronique complète)

Discographie Blood & Fire:
• Blood&Fire001 - The Dreads at King Tubby's : "If Deejay was your trade" (1974-1977)
"Vous avez ici les racines du rap et des Djs d'aujourd'hui avec les meilleurs artistes des années 70 dans ce domaine" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire002 - King tubby and Friends : "Dub gone crazy" (1975-1979)
"Un formidable set d'instrumentaux dub d'époque sur des pistes jouées par les Aggravators entre 1975 et 1979, produit par Bunny Lee" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire003 - Keith Hudson - "Pick a dub" (1974)
"Pick a dub fut le premier album de dub sorti en Angleterre (en 1974)" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire004 - Burning Spear - "Social living" (1978)
"cet album contient une partie de la plus grande musique jamais enregistrée en Jamaïque" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire005 - Yabby U : "King Tubby's prophesy of dub" (1976)
"ses prières vocales, mystiques et spirituelles, se combinent ici merveilleusement avec la production 'roots dub' de King Tubby" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire006 - Horace Andy : "In the light / In the light dub" (1977)
"L'album chanté ("In the light") est un disque de reggae roots parfait, son contrepoint dub ("In the light dub"), produit par le Brilliant Prince Jammy, est tout simplement impressionnant" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire007 - A Blood & Fire Sampler : "Heavyweight sound" (1974-1979)
"Un sampler : deux titres de chacune des rééditions précédentes" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire008 - Tappa Zukie : "Tappa Zukie in dub" (1976)
"Pressé à l'origine en 1976 en 300 exemplaires, c'est un grand trésor perdu de dubs que Blood & Fire a exhumé" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire009 - The Congos : "Heart of the congos" (1976-1977)
"il s'agit simplement d'un des meilleurs disques de tous les temps, ramené à la vie sous cette nouvelle forme et avec un nouveau son entièrement remasterisé" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire010 - Jah Stitch : "Original ragga muffin" (1975-1977)
"Jah Stich est un deejay (ou toaster) crucial, ravivé par le talent de Blood & Fire (qui, j'en suis sûr, doivent employer de la magie pour avoir un tel bon goût)" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire011 - King Tubby & Soul Syndicate : "Freedom sounds in dub" (1976-1979)
"Encore une réédition Blood & Fire qui met en évidence le génie de Osbourne Ruddock, a.k.a. King Tubby" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire012 - Scientist : "Dub in the roots tradition" (1976-1979)
"Vous trouverez ici compilés les premiers efforts d'un génie de l'innovation" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire013 - King Tubby & Prince Jammy : "Dub gone 2 crazy" (1975-1979)
"Cet ensemble est le compagnon du "Dub Gone Crazy" paru en 1994" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire014 - Prince Alla : "Only love can conquer" (1976-1979)
"une compilation vraiment bien travaillée de standards roots inégalables" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire015 - Glen Brown & King Tubby : "Termination dub" (1973-1979)
"La rencontre de deux ingénieurs et producteurs légendaires : Glen 'Rhythm Master' Brown et King 'Dubmaster' Tubby!" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire016 - I-Roy : "Don't check me with no lightweight stuff" (1972-1975)
"un deejay avec de l'âme : catégorisé comme "sing-jay" sur l'île de la Jamaïque" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire017 - Another Blood & Fire Sampler : "2 heavyweight" (1972-1979)
"Neuf classiques extraits des références BAFCD 008 à BAFCD 016 et sept exclusivités remplissent cette parfaite compilation de reggae roots et de dub du label Blood & Fire" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire018 - Morwell Unlimited Meet King Tubby's "Dub me" (1975)
"Voilà la version dub de King Tubby de l'album "Presenting the Morwells", sorti en 1975" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire019 - Horace Andy : "Good vibes" (1975-1980)
"une compilation de dix très bons disco mixes ('disco mix' = 'vocal mix' + 'dub mix' à la suite), de classiques des années 1975-1980" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire020 - U Brown : "Train to Zion" (1975-1978)
"Dans la foulée de U-Roy, Roy Reid devint I-Roy et Huford Brown U-Brown" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire021 - Yabby You : "Jesus dread" (1972-1977)
"47 purs roots reggae et dub des années 70 du roots master Vivian Jackson, plus connu sous le nom de Yabby U" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire022 - Impact All Stars : "Forward the bass : dub from Randy's" (1972-1975)
"Généralement, la vue d'une compilation de best of des hits du meilleur me fait vomir trois jours, mais là, force m'est d'avouer qu'il existe au moins une compile utile" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire023 - Junior Byles : "129 Beat street Ja-man special" (1975-1978)
"Chers rastafariens, chères rastafariennes, c'est toujours les yeux embués par l'émotion et les oreilles au bord des genoux que je découvre une autre racine de la plante sonore jamaïcaine" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire024 - Johnny Clarke : "Dreader dread" (1976-1978)
"Restant assez méconnu de manière internationale, Johnny Clarke n'en est pas moins produit par Bunny Lee à partir de 1975 jusqu'à la fin des seventies" (Lire la chronique complète)
• Blood&Fire025 - King Tubby & Friends : "Dub like dirt" (1975-77)
"Tout ça pour dire que cette nouvelle compile de King Tubby rassemble diverses faces B (versions, dub…) de choix, avec les Aggravators comme backing band, le tout produit par Bunny Lee" (Lire la chronique complète)

• Bloque : "Bloque" (Luaka Bop/WEA, 1999)
"Ne vous êtes vous jamais demandé ce qu'aurait pu devenir Ricky Martin s'il avait été vachement moins… Ricky?" (Lire la chronique complète)

• "Brazilia 2000" (Mr Bongo/Night & Day, 1999)
"On veut juste faire en sorte que les filles dandinnent leurs jolis corps de déesses, les seins en avant et les fesses… partout!" (Lire la chronqiue complète)

• James Brown : "In the jungle groove" (Polydor/Universal, 1969-71)
"Mon Dieu! James est de retour, et c'est reparti pour du groove toujours aussi dense et moite." (Lire la chronique complète)
• James Brown : «The payback» (Polydor/Universal, 1973)
"Pourquoi parler de «The Payback» aujourd'hui? Parce que c'est Papa James, parce que cet album n'est pas un de ses plus populaires et surtout parce que tout bon funk-aficionado qui se respecte se doit de le posséder dans sa collection." (Lire la chronique complète)

• Buena Vista Social Club : "Buena vista social club" (World Circuit, 1997)
"le disque de l'année 1997, tout simplement" (Lire la chronique complète)

• Burnt Friedman & the Nu Dub Players :"Just landed" (Scape/PIAS, 2000)
"on aime bien ce disque parce que c'est du dub de drogué à la marijane, un point c'est tout! Ceci étant d'ors et déjà réglé, passons à l'étape suivante: l'écoute." (Lire la chronique complète)

• Terry Callier : "Timepeace" (Verve, 1998)
"Ça n'est pas si souvent qu'on peut écouter ce genre de musique, à la fois roots, universelle, passionnée et douloureuse, sociale et spirituelle" (Lire la chronique complète)
• Terry Callier : "Essential - The very best of" (Universal, 1970-73)
"En faisant un peu le tri des différents compiles sorties suite au retour sur le devant de la scène de Terry Callier (avec un album magnifique, "timepeace"), je choisirai celle-ci" (Lire la chronique complète)

• Company Flow : "Funcrusher plus" (Rawkus, 1997)
"Influencés par Eric B & Rakim musicalement et par le Wu Tang d'une manière plus système économique, ces trois garçons contre le vent redonnent certaines lettres de noblesse au rap" (Lire la chronique complète)
• Company Flow : «Little johnny from the hospitul» (Rawkus, 1999)
"Cliniquement hip hop.... C'est alors que Gidèle se demanda si elle avait bien fermé la porte du dortoir des malades du cerveau... Alors, surgi de la torpeur exacerbée de la nuit, deux êtres informes: sans le moindre complexe, sans la moindre hésitation, ils frappent à coup de hip hop, instrumentalisant leurs pathologies cérébrales pour en faire profiter le maximum de malades." (Lire la chronique complète)

• Cubismo : "Viva La Habana" (Irma World/Night & Day, 1999)
"Mais faisons fi de ces fadaises et folâtrons en feux follets fur les fanfons de fet album fympa. Cubismo est un ensemble plus qu'un groupe et on croirait aisément qu'ils sont cubains à s'y méprendre" (Lire la chronique complète)

• Cypress Hill : "IV" (Ruffhouse/Columbia, 1998)
"Pour une première tentative, c'est un coup de maître que réussit Muggs avec son melting pot" (Lire la chronique complète)
• Cypress Hill : "Skull & Bones" (Ruffhouse/Columbia, 2000)
"AAAHHH, comme il est bon de pouvoir relire au dos d'un album «Produced, arranged and mixed by Dj Muggs for Soul Assassins»: les maitres du hip hop version chicanos power sont de retour pour faire mal aux oreilles de leurs détracteurs." (Lire la chronique complète)

• DC Basehead : "Faith" (Imago, 1996) et
"In the name of Jesus" (Union of Vineyard Workers, 1998)
"On est bien contents parce que c'est du tout bon Ivey. On ne peut même pas regretter les samples et autres scratches puisque l'esprit est le même mais là, avec des musiciens, des vrais de vrais, qui s'emportent sur des compositions vraiment enfumées" (Lire la chronique complète)

• De La Soul : «Art Official intelligence» (Tommy Boy/P.I.A.S., 2000)
"Meutch meutch respekt tou De La Soul pour l'ensemble de leur production (oui, oui, en particulier leur premier album produit par Monsieur Prince Paul «Three feet high and rising»...), et aussi pour l'héritage qu'ils ont déjà laissé, par le biais de leurs descendants directs, les Jurassic 5, Slum Village, Blackalicious, People Under The Stairs..." (Lire la chronique complète)

• Dilated Peoples : "The Platform" (Capitol/EMI, 2000)
"Le hip hop revit, d'une certaine façon. Après la vague gangsta-rap de la fin des années 90, en omettant l'orientation dance de la daube nichée en haut des tops ou la facilité pop d'un Eminem, on arrive mieux à s'y retrouver aujourd'hui" (Lire la chronique complète)

• Dj Krush : "Kakusei" (Small/Sony, 1999)
"Voilà déjà quelques bribes d'un hip hop nippon au-dessus de n'importe quelle production franchouillarde R'n'Bidon : Dj Krush innove avec le hip hop noisy minimaliste" (Lire la chronique complète)
• Dj Krush : «Code 4109» (Columbia/Sony, 2000)
"Encore un album extra-ordinaire que Sony ne sauront pas vendre en France!" (Lire la chronique complète)

• Dj Logic : "Project Logic" (Ropeadope, 2000)
"Si vous trouvez qu'Alice au pays des merveilles est un conte qui n'a rien à voir avec les différents psychotropes qui ont donné vie à l'oeuvre de Lewis Carrol, vous pouvez d'ores et déjà vous déconnecter de cette page car, il sera difficile pour vous de concevoir qu'un Dj hip hop puisse donner une nouvelle vie au jazz!" (Lire la chronique complète)

• Dj Q-Bert : "Wave twisters" (Galactic Butt Head/Import, 1999)
"1999 sera l'année de l'Apocalypse ou ne sera pas (de toutes façons!). À toutes les théories de 'comment ça va se passer?', Dj Q-Bert ajoute sa thèse de la bataille sonique intergalatique" (Lire la chronique complète)

• Drugs : "A prescription for Miss America" (Kraked/Discograph, 2002
"Amis lutins, je m'adresse aussi à vous. Le psychédélisme avancé est de votre ressort?"(Lire la chronique complète)

• Sly Dunbar :"Sly-go-ville" (Taboo1/Taxi/Musisoft, 1982)
"Les plus grandes innovations du reggae dancehall proviennent du propre label de Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, Taxi, et ce "Sly Go Ville", qui réunit en fait les 8 titres de l'album de 1982 ainsi que 6 raretés issues de 45 tours, représente on ne peut mieux le travail d'expérimentation du duo à l'époque." (Lire la chronique complète)

• Eminem : "The Marshall Mathers LP" (Aftermath/Interscope/Universal, 2000)
"Tout le monde aime ou déteste Eminem. L'un ou l'autre. Ajoutez à ça MTV qui diffuse ses clips à haute dose et hop! Un bon gros n°1 aux États-Unis! En même temps, c'est normal: les kids adorent les gars qui se la racontent, surtout quand les injures, gros mots et autres "motherfucker don't fuck with me I'll eat your balls for breakfast" parsèment son "œuvre", quand les mélodies tapent carrément dans le mille variétoche universelle et quand la prod est assurée sur la moitié de l'album par Dr. Dre..." (Lire la chronique complète)

• Cesaria Evora : « Cafe Atlantico » (Lusafrica/B.M.G., 1999)
"Attention: Grande dame... Alors que des anorexiques hystériques canadiennes se font ovationner à coups de clap clap juveniles et suant de niaiseries, on prend un certain plaisir à savoir que, d'un autre côté, les divas ne sont pas mortes.." (Lire la chronique complète)

Discographie Fat City Recordings:
• Va
rious Artists : "Frying the fat" (LP/CD, Grand Central GC100, 1998??)
• Various Artists : "Mystic Brew - Flavour Of Fat City" (2LP/CD Fat City FCCD001/FCLP001, 11.1998)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Counter Culture" (2LP/CD Fat City FCCD002/FCLP002, 09.1998)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Main Ingredients EP1" (12" Fat City FC12003, 08.1999)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Main Ingredients" (2LP/CD Fat City FCCD003/FCLP003, 09.1999)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Main Ingredients EP2" (12" Fat City FC12004, 12.1999)
• Various Artists : "Special Brew - Heavy Loungin EP1" (12" Fat City FC1206, 05.2000)
• Various Artists : "Special Brew - Heavy Loungin EP2" (12" Fat City FC1205, 05.2000)
• Various Artists : "Special Brew - Heavy Loungin" (2LP/CD Fat City FCCD004/FCLP004, 07.2000)
• Various Artists : "Special Brew - Finders Keepers promo ep" (7" Fat City FC7001, 09.2000)
• Various Artists : "Special Brew - Finders Keepers" (2LP/CD Fat City FCCD005/FCLP005, 11.2000)
• Various Artists : "Special Brew - Heavy Loungin EP3" (12" Fat City FC1207, 12.2000)
• Various Artists : "Mystic Brew - For play" (2LP/CD Fat City FC006, 04.2001)
• Various Artists : "Mystic Brew - For Play sampler EP" (12" Fat City FC12008, 05.2001)
• Various Artists : "Fat & Funky - 45 Kings" (2LP/CD Fat City FC007, 09.2001)
• Various Artists : "Mystic Brew - For Play mix CD by Jason Holmes" (CD Fat City FCPR2, 11.2001)
• Various Artists : "Mystic Brew - For Play sampler vol. 2" (12" Fat City FC12009, 11.2001)
• Various Artists : "Fatwaxx" (12" Fat City FC12010, 04.2002)
• Various Artists : "Fat & Funky - 45 Kings Vol. 2" (2LP/CD Fat City FC008, 04.2002)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Fat City Sound" (2LP/CD Fat City FC009, 07.2002)
• Various Artists : "Mystic Brew - The Fat City Sound EP" (12" Fat City FC12011-12I, 07.2002)
• Various Artists : "Stars on 33 - compiled by Aim" (CD/2LP Fat City FC010, 10.2002)
• Various Artists : "Stars on 33 - compiled by Ralph Lawson" (CD Fat City FC011, 04.2003)
• Various Artists : "Music To Watch Girls Cry - mixed by Andy Votel" (CD Fat City FC012, 08.2003)

Discographie Fela:
• Fela Ransome Kuti & the Afrika 70 with Ginger Baker : "Live" (1971)
"Ce concert devait être une tuerie" (Lire la chronique complète)
• Fela Ransome Kuti & the Afrika 70 : "He Miss Road" (1975)
"La musique de Fela nous rappelle, par son retour aux sources de ce que l'on appelle le groove, que lorsque les européens inventaient l'esclavage et la valse, les africains inventaient le funk" (Lire la chronique complète)
• Fela Anikulapo Kuti & the Afrika 70 : "Zombie"(1976)
"Plongez-vous dans la grosse marmite chaud-bouillant du groove africain le plus infernal de la planète" (Lire la chronique complète)
• Tony Allen hits with the Afrika 70 / Tony Allen plays with the Afrika 70: "Jealousy/Progress" (1975/1976)
"Alors que Fela devient l'icône africaine du renouveau de la musique en 1974, ses musiciens, les Afrika 70, lui réclament des parts sur les royalties. Fela refuse et se retrouve confronté à des musiciens en grève. Ce qui le touche plus que tout, c'est la participation de son alter ego batteur à ce mouvement... C'est alors qu'il entrevoit une solution: s'il ne peut pas leur donner une part de ses royalties, il peut toutefois les aider à produire un album afin qu'il puissent créer leur propre musique et toucher des royalties à leurs noms." (Lire la chronique complète)
• Fela Anikulapo Kuti & the Afrika 70 : "Stalemate" (Barclay/Universal, 1977)
"Selon la fameuse tradition Felaïenne (et non pas fellatrice!), un album, c'est deux morceaux: un pour chaque face et chacun pour soi." (Lire la chronique complète)
• Fela Anikulapo Kuti & the Afrika 70 : "Shuffering and Schmiling" (Barclay/Universal, 1978)
"Allez, il est temps de découvrir l'album le plus populaire de l'artiste africain le plus connu de la planète... Certes, d'autant diront que Manu Di Bango était pas mal dans le genre mais lui, n'a pas imposé l'afro beat: il s'est collé dessus!" (Lire la chronique complète)
• Tony Allen plays with Afrika 70 / Tony Allen & the Afro Messengers : "No accommodation/No discrimination" (1978/1979)
"en 78, survient le départ de Tony Allen qui décide de quitter officiellement la formation de Fela. Mais ce n'est pas pour rester à l'écart, puisqu'il enregistre peu de temps après, le troisième et dernier album des Afrika 70 avec Tony Allen, où l'on retrouve bizarrement Fela au piano et au sax tenor. L'explication est simple: les deux compères enregistrait tout deux au même endroit, au même moment." (Lire la chronique complète)
• Fela Anikulapo Kuti and Roy Ayers : "Music of many colours" (1980)
ce disque constitue une formidable ouverture vers l'afrobeat de Fela pour un public blanc plus habitué à d'autres sons (Lire la chronique complète)
• Fela : "The two sides of Fela - Jazz & Dance" (compilation, 1999)
Pour une fois la surprise est bonne : cette compile est très bien foutue, sans faute de goût, elle s'écoute en boucle sans problème (Lire la chronique complète)

Ibrahim Ferrer : "Buena Vista Social Club presents" (World Circuit, 1999)
"On essaie de nous vendre par palettes l'album solo du chanteur cubain Ibrahim Ferrer qui apparaissait sur le plus bel album de 1997 (!), sobrement intitulé "Buena Vista Social Club", en copiant l'esthétique et les couleurs de la pochette de ce dernier, en inscrivant même sur la pochette 'Buena Vista Social Club presents'… Ça sent l'arnaque" (Lire la chronique complète)

Discographie The Freeelance Bishops:
funk-soul-jazz-boogaloo... sounds for your mind and booty
• The Freelance Bishops : "The Freelance Bishops" (Broken Buddah, 1999)
• The Freelance Bishops : "Blowin' in style" (Broken Buddah, 2002)

Discographie Funkadelic:
• Funkadelic : "Funkadelic" (1970)
"Drôle, acide, bruyant, plein de feeback, blues, enfumé, funk, rock, solide, extra-terrestre, psychédélique, étendu..." (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Free your mind and your ass will follow" (1971)
"Le deuxième album de Funkadelic a été enregistré à titre particulièrement expérimental, en une seule journée, sous trip" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Maggot brain" (1971)
"Si vous pouvez écouter du Velvet, du Sly & the Family Stone, du Hendrix, du James Brown... vous aimerez Funkadelic" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Live - Meadowbrook, rochester, Michigan, 12th September 1971" (1971)
"C'est le top du Parliafunkadelicment correct" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "America eats its young" (1972)
"Une grande partie des musiciens de James Brown, les JB's, rejoignent Funkadelic" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Cosmic slop" (1973)
"Cosmic slop reste un classique immédiat indispensable en concert" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Standing on the verge on getting on" (1974)
"Une claque dans la veine de "Maggot brain", à mi-chemin entre le rock, le funk, la soul, et tout ce que l'on peut trouver au milieu" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Let's take it to the stage" (1975)
"L'objectif avoué est évident : faire danser" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Tales of Kidd Funkadelic" (1976)
"Cet album se moque bien de la disco qui émerge, mais reste bien paresseusement séduit par celle-ci" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Hardcore jollies" (1976)
"Le dernier album sur Westbound avant que le groupe soit signé chez Warner Bros" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "One nation under a groove" (1978)
"La déclaration d'interdépendance du funk" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Uncle Jam wants you" (1979)
"À l'opposé de la disco, ce disque ne fait pas que se danser, il s'écoute aussi" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "The electric spanking of war babies" (1981)
"Le laboratoire d'expérimentation de Funkadelic reprend un peu vie" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Connections and disconnections" / "Who's a funkadelic" (1981)
"Celui-là, il est merdique" (Lire la chronique complète)
• Funkadelic : "Music for your mother : Funkadelic 45s" (1969-1976)
"Excellente double compilation des singles de la première période (Westbound)" (Lire la chronique complète)

• Fun Lovin' Criminals : "100% Colombian" (Capitol/EMI, 1998)
"On imagine assez clairement les soirées enfumées de studio où nos trois compères on dû griller les derniers neurones ensemble, en signe de ralliement" (Lire la chronique complète)

Discographie Galactic:
• Galactic : "Coolin' off" (1996)
"L'album, principalement instrumental, se trouve à la frontière du funk des Meters et du côté exploration de Medeski, Martin & Wood, une sorte d'acid-jazz de rue" (Lire la chronique complète)
• Galactic : "Crazyhorse mongoose" (1998)
"On peut prévoir un impact de force 9 sur l'échelle de James Brown d'ici quelques années quand cette vague arrivera en France. En général, nous avons 5 ans de retard sur les States, le premier album de Galactic date de 1996, ça fait donc du 2001 ici. Galactic en 2001 à Paris?" (Lire la chronique complète)
• Stanton Moore : "All kooked out!" (1999)
"Les fans de Galactic (ça y est nous en sommes) adoreront cet album, pas si éloigné de ça de ce qu'ils font eux, mais les vrais amateurs de jazz y trouveront leur compte eux aussi: il y a autant de musique cérébrale que de groove là-dedans" (Lire la chronique complète)
• Galactic : "Late for the future" (2000)
"A la poubelle les Ersatzs de Stevie Wonder iroquois, ciao le R'n'B de tous poils, souvent pubiens aujourd'hui dans le R'n'B, ou plutôt ce qu'il en reste, bye bye la vague latino-ricky à la Paula Abdul nouvelle vague, dansons maintenant!" (Lire la chronique complète)
• Garage à Trois : "Mysteryfunk EP" (1999)
"Disponible uniquement en maxi vinyle édition limitée (1000 copies je crois), voilà une merveille de swampy-blues-funk-electronica à choper d'urgence, avant justement que l'édition limitée soit épuisée. "(Lire la chronique complète)

• Rubén González : "Introducing..." (World Circuit, 1997)
"Rubén González a bientôt 80 ans, et c'est son premier album! Mieux vaut tard que jamais si c'est pour sortir une merveille telle que celle-ci." (Lire la chronique complète)

Discographie Greyboy Allstars:
• The Greyboy Allstars : "West coast boogaloo" (1994)
"même si certains (comme nous) préfèrent le second, plus accompli, les compos de celui-ci sont peut-être un peu plus variées, plus gentilles, plus soul. Et puis ne vous y méprenez pas de toutes façons, c'est bien du Greyboy, soit du pur boogaloo funk jazz" (Lire la chronique complète)
• The Greyboy Allstars : "A town called earth" (1997)
"Complètement funk, totalement jazz, évidemment soul, ce groupe improvise, jamme et groove autant qu'un Maceo Parker sur scène, en plus électrique" (Lire la chronique complète)
• The Greyboy Allstars : "Live" (1999)
"Nostalgiques du funk progressif à la Sly, des cuivres de JB's enragés, du temps passé où l'on dansait quand on allait à un concert, des grooves tapageurs des premiers groupes d'acid-jazz et des envolées gratefuliennes et deadiennes (voir les deux?!), surtout si vous aimez Phish, ne désespérez plus" (Lire la chronique complète)
• The Greyboy Allstars : "Live" (1999)
"Breakbeats anthologiques, guitares wah-wah ultra-syncopées et saxos over boostés sont des éléments déterminants de ce second opus incontournable" (Lire la chroniqus complète)

• Handsome Boy Modeling School : "So... how's your girl?" (Tommy Boy/P.I.A.S., 1999)
"Cet album étant parfait, faisons le détail précis de tout les titres un par un..." (Lire la chronique complète)
"De toutes façons, avant même d'écouter le disque, vous êtes prévenus de la baffe qui va vous arriver (très vite) dans la gueule: il s'agit quand même de Dan the Automator (a.k.a. Kool Keith ou Dr. Octagon...), qui, en plus de réaliser des galettes de hip hop comparables aux galettes au sarazin de ma mère dans un autre domaine (elle est normande), donc en plus le gars bosse régulièrement avec les Beastie Boys ou le Jon Spencer Blues Explosion!"(Lire la chronique complète)

• David Holmes : "B.O. Out of sight" (Universal/MCA, 1998)
"C'est David Holmes qui produit et compose cette B.O. digne d'un album de funk acid jazz seventies avec l'apport technique des années 90" (Lire la chronique complète)

• Hot Chocolate : "Hot chocolate" (Soul Brothers/Night & Day, Réédition 1999)
"Chaud devant! Le premier enregistrement de ce groupe de pure soul funk est enfin sorti des coffres forts pour notre plus grand plaisir auditif et financier." (Lire la chronique complète)

• Ice : « Bad blood » (Morpheus/Import UK, 1998)
"Vous qui aimez les méchants pas beaux pas contents qui font du rap aux relents de trip hop lourd de basses, vous allez aimer Ice" (Lire la chronique complète)

• Keziah Jones : «The african anarchist corp. EP» (Delabel, 2000)
"Keziah Fela jones... «Ah la la», comme dirait la mère Denis après avoir ingurgité une série de punchs de la vache Kiri, pas évident de ne pas aimer Keziah jones, surtout quand il fait appel à Prince Paul pour remixer son «African space craft», sûrement un de ses meilleurs morceaux, et incontestablement son meilleur album" (Lire la chronique complète)

• Jurassic 5 : "LP" (Pan/PIAS, 1998)
"Dans les règles de l'art... c'est ainsi qu'est fait l'album éponyme du quintette de rappeurs façon Old School que sont les Jurassic 5" (Lire la chronique complète)

KID KOALA : FULL DISCOGRAPHY
Le roi du scratch est canadien et loufoque

• Killah Priest : "Heavy Mental" (Geffen/Universal, 1998)
"Lorsque Killah Priest ouvre la bouche, son flow hypnotique et sa voix particulière font de lui un prêcheur que l'on espère être écouté à sa juste valeur" (Lire la chronique complète)

• King Tubby : "Dub from the roots" (Striker Lee, 1974)
"Si vous aimez le genre, ce disque est fantastique" (Lire la chronique complète)

• Kool Keith : "Black Elvis / Lost in space" (Red Ink/Sony, 1999)
"Kool Keith n'a pas à rougir de ce qu'il a fait même si les aspects les plus intéressants de cet album restent les sons instrumentaux et pas forcément le phrasé pas très très original du sieur Kish" (Lire la chronique complète)

• Mike Ladd : «Welcome to the afterfuture» (East-West/P.IA.S., 1998)
"Pour ceux qui aurait encore des doutes quand on leur dit que le trip hop peut être amusant, vous devez immédiatement vous présenter chez votre disquaire pour vous procurez le Mike Ladd: vive le second degré!" (Lire la chronique complète)

• Live Human : «Elefish jellyphant» (Matador/P.I.A.S., 2000)
"Live Human est en fait un trio formé en 1996, composé de Carlos Aguilar, plus connu sous le nom de Dj Quest, membre fondateur des Space Travelers (précédemment les Bullet Proof Scratch Hamsters), virtuose des platines et expert en turntablism; de Albert Mathias, multi-percussioniste fort talentueux et de Andrew Kushin, double-bassiste oreinté free-jazz et expérimentatons à cordes." (Lire la chronique complète)

• LKJ : "More time" (LKJ Roots/WEA, 1998)
"Ce poète dub est engagé, politique, activiste et brillant. Allez à un de ses concerts et vous danserez pendant plus de deux heures tout en intégrant aisément ses messages, clairs et pointus" (Lire la chronique complète)

• Los Amigos Invisibles : «Arepa 3000, A venezuelan journey into space» (Luaka bop/Virgin, 2000)
"si le funk, le latin-disco, le groovy-boogaloo et autres musiques piquantes vous sont agréables, ce disque ne quittera pas votre platine." (Lire la chronique complète)

• Lucy Pearl (Pookie/Virgin, 2000)
"Ceux d'entre vous qui arrivent à regarder MTV plus d'une minute par jour, auront déjà entendu parler de ce «nouveau» groupe, qui arrive à point pour les programmateurs NRJ et Skyrock. Prend un ex-A Tribe Called Quest (Ali Shaheed Muhammad), une ex-En Vogue (Dawn Robinson), et un ex-Tony Toni Toné (Raphael Saadiq), et construis toi-même un groupe qui vend des disques." (Lire la chronique complète)

• Lyricist Lounge : "Volume one" (Rawkus, 1998)
"Lyricist Lounge est le nom de joutes hip hop trimestrielles, parrainées par Rawkus et des artistes rap bien connus. Ainsi, il n'est pas étonnant d'entendre De la soul ouvrir les débats. Puis, les jeunes Posse s'affrontent à coup de rimes et de flows tranchants et trippants" (Lire la chronique complète)

• Bob Marley & the Wailers : «Rastaman vibration» (Island/Universal, 1976)
"La date est 1976. Tous les fachos de la musique qui ne jurent que par le décade bénie 1965-1975 ne peuvent décemment y inclure le reggae, et «Rastaman Vibration» le prouve. C'est album est, comme un enfant, adorable. Véritable manifeste, c'est le petit livre rouge du rasta." (Lire la chronique complète)

• Material :"Intonarumori" (Axiom/Palm pictures, 2000)
"Voilà bien quelques années que le projet Bill-Laswellien n'avait pas donné de suite alors que déjà, on s'attendait à un nouveau chapitre des tribulations electro afro jazz indiennes plus imminent que jamais et non... des cruches et des cruches sont passées sous les ponts avant que ne sorte le deuxième volet, surprenant à souhait..." (Lire la chronique complète)

• Tommy McCook & the Aggravators : "Showcase" (Striker Lee, 1975)
"Au mileu des années 70, la pluspart des principaux producteurs de reggae de Jamaïque s'empressèrent de sortir au moins un album constitué uniquement d'instrumentaux dub. Celui-ci fait partie des meilleurs" (Lire la chronique complète)

• Me:One : "E.P." (Island/Universal, 1999)
"Le mélange du rap et du chant reggae se fait à merveille sur des productions de cool hip hop à la Roots, dans les meilleurs moments, et à la Urban Species, dans les pires" (Lire la chronique complète)

• Method Man : "Tical 2000 : Judgment day" (Def Jam/Polygram, 1998)
"Le clan n'en finit pas de marquer son territoire à coup de rimes, balançant ses combattants un peu partout pour proférer la bonne parole" (Lire la chronique complète)

• Methods Of Mayhem : «Methods of mayhem» (MCA/Universal, 1999)
"«Z'y-va, Tommy Lee, y fait du pe-ra man'nan!» «Ouah l'aut' eh! Tu délires là? C'est pas blessipo. Et c'est qui Tomili d'abord?» Pour les ignares, ou tout simplement ceux qui auraient passé les 20 dernières années dans une couveuse au fond d'un abri de Jardin, Tommy Lee (prononcer LEE) n'est autre que l'ex-moteur rythmique du «Crüe», comprendre par là Motley Crüe, groupe phare des années hard FM qui sévit toujours d'ailleurs (on se demande pour qui), mais sans M. Lee qui les a quitté au cours de ce très violent virage artistique." (Lire la chronique complète)

• Mixmaster Mike : "Anti-theft device" (Asphodel, 1998)
"Respecté de la plupart des Djs hip-hop de la planète, cet extra-terrestre du scratch n'est autre qu'un membre fondateur du collectif Invisibl Skratch Piklz, vainqueur de trois championnats du monde de Djs (après quoi il lui fut demandé de se retirer du concours pour laisser une chance aux autres) et Dj des Beastie Boys" (Lire la chronique complète)
• Mixmaster Mike : "Surprize Packidge, the automator remix" (Asphodel, 2000)
"
le véritable intérêt de ce 7 titres vient des trois derniers titres, "Audio mass", "Monster eye land" et "Grudge match"." (Lire la chronique complète)
• Mixmaster Mike : «Eye of the cyclops» (Asphodel/PI.A.S., 2000)
"22 minutes pour cet EP, ce n'est pas grand-chose mais dès que l'on commence à écouter on pense aux 34 minutes incroyables du dernier Kid Koala et on lâche sereinement un vatse sourire de convaincu (en un seul mot)." (Lire la chronique complète)

• Mos Def : "Black on both sides" (Rawkus/P.I.A.S., 1999)
"Le résultat est plus roots que jamais: passant par tout les visages de la musique noire, l'album parle de tous les paysages oubliés d'une terre trop lointaine" (Lire la chronique complète)

Discographie Mo' Wax:
Mo' Wax Albums :
• MWCD 003 - Various Artists : "Royalties overdue - The first chapter" (1994)
• MW025 - Dj Krush : "Strictly turntablized" (1994)
• MW026 - Various Artists : "Headz - A soundtrack of experimental hip-hop jams" (1994)
• MW034 - Money Mark : "Mark's keyboard repair" (1995)
• MW039 - Dj Krush : "Meiso" (1995)
• MW043 - Money Mark : "Third version E.P." (1996)
• MW046 - Dr Octagon : "Ecologyst" (1996)
• MW056 - Various Artists : "Excursions" (1996)
• MW059 - Dj Shadow : "Entroducing" (1996)
• MW061 - Various Artists : "Headz 2a" (1996)
• MW062 - Various Artists : "Headz 2b" (1996)
• MW064 - Dr Octagon : "Instrumentalyst" (1996)
• MW072 - Luke Vibert : "Big soup" (1997)
• MW073 - Sukia : "Contacto espacial con el tercer sexo" (1997)
• MW077 - Dj Krush : "Milight" (1997)
• MW082 - Major Force West : "The original art-form" (1997)
• MW085 - U.N.K.L.E. : "Psyence fiction" (1998)
• MW090 - Money Mark : "Push the button" (1998)
• MW099 - Andrea Parker : «Kiss my arp» (Mo'Wax/Source, 1999)
"Non mais franchement poum poum bébé c'est du foutage de gueule, comme dirait l'autre. Nous revenons des mois après tout le monde sur cet album, un peu uniquement pour complèter la discographie Mo' Wax, mais surtout pour essayer de comprendre." (Lire la chronique complète)
• MWR101 - Psychonauts : «Time machine - A Mo' wax Retrospective Mix» (Mo'Wax/Source, 1998)
"les seuls artistes qui restent affiliés au label aujourd'hui sont peu nombreux et pas forcément les meilleurs (plus de Dj shadow, plus de Dj Krush), et donc vu que les droits de ce mégamix doivent être maintenant éparpillés de droite et de gauche, on ne trouve plus ce disque aujourd'hui." (Lire la chronique complète)
• MWR 104 - Tommy Guerrero : «A litttle bit of somethin'» (Mo' Wax/Source, 2000)
"A trente-trois ans, Tommy, énorme star du skate aux states, décide de laisser tomber un peu le sport et de se consacrer à la musique, ou plutôt à sa musique: c'est lui qui joue tout sur cet album (guitare, basse, batterie, claviers, percus, mix...)." (Lire la chronique complète)
• Mo' Wax MWR105 - Major force West : "'93-'97" (1999)
"Qui se souvient de Major Force West? Mo' Wax a sorti ce collectif japonais de l'oubli en 1997 en compilant la crème de leur electro-breakbeat hip hop nippon auquel on a fini par attribuer le nom de nip-hop." (Lire la chronique complète)
• MWR110 - Quannum : "Spectrum" (1999)
"Cet album est admirable. Il réunit tout un tas de grand nom du hip hop d'aujourd'hui, autour du grand et génial Dj Shadow. Il constitue ainsi une formidable compilation de hip hop actuel vachement bien. Bourré de trouvailles jusqu'à l'os, on risque même de mettre pas mal de temps avant de bien tout apprécier. Oui d'accord. Mais en fait on en attend tellement plus qu'on est irrémédiablement déçu." (Lire la chronique complète)
• MWR112 - Blackalicious : "Nia" (2000)
"Comment parler quand on est étreint par la subtile mais non moins pesante pression que peut vous foutre une nouveauté hip hop dont on vous promet le mieux? Et même si la tache semble au premier abord, pas plus difficile que de dire Ouneshkeuteufrruurrrt, mon baobab nain pourra vous prétendre le contraire... A première vue, la platine ne rechigne pas et les enceintes tiennent le coup, malgré les basses énormes qui enveloppent la pièce colorée de hip hop made in Mo'Wax." (Lire la chronique complète)
• MWR115 - Dj Assault : "Belle Isle Tech" (2000)
"Dans la série «faites moi plaisir: j'fais une teuf avec des gens bizarres et je sais pas quoi leur faire écouter!», Mo'Wax présente le mix Dj assault en offrande à vos esgourdes de malfamés affamés de nouveautés plus vieilles que jamais." (Lire la chronique complète)
• MWR 121 - Dj Magic Mike : «The journey (era of bass part 1) (Mo'Wax/Source, 2000)
"Magic Mike, Dj prolifique qui sort dans la foulée de cet album un «Magic's kingdom» chez 3rd Level/Restless (en import pour l'instant, chroniqué le mois prochain), est considéré par ses pairs (le hip hop MCs world) comme le roi de ce qu'on appelle la «Detroit bass», soit donc un genre dont on a jamais entendu parler dans nos contrées." (Lire la chronique complète)
• MWR 122 - Divine Styler : «Wordpower2: Directrix» (Mo' Wax/Source, 2000)
"Commençons par nous extasier sur l'artwork de l'édition triple vinyle de cet album pendant quelque temps: il se décompose en 5 panneaux dont quatre s'assemblent pour former une pyramide thermo-psychédélique à la Predator!" (Lire la chronique complète)
• Dj Shadow : "The private press" (Mo' Wax/Universal, 2002)
"que Mr Messier se rassure, on vient de trouver le 1% de son catalogue dont on ne peut pas se passer"(Lire la chronique complète)
Mo' Wax Singles :
• MW017 - La Funk Mob : "Tribulations extra sensorielles" (1994)
• MW027 - Dj Shadow : "What does your soul look like?" (1995)
• MW028 - U.N.K.L.E. : "The time has come E.P." (1995)
• MW029 - Palm Skin Productions : "The beast" (1995)
• MW035 - Luke Vibert : "A polished solid" (1995)
• MW036 - Money Mark : "Cry" (1995)
• MW037 - Clubbed To Death : "Compact disc experience" (1995)
• MW042 - Dj Krush : "Meiso" (1995)
• MW055 - Dr Octagon : "Blue flowers" (1996)
• MW057 - Dj Shadow : "Midnight in a perfect world" (1996)
• MW058 - Dj Shadow : "Stem" (1996)
• MW060 - Dj Krush : "Only the strong survive" (1996)
• MW063 - Dj shadow : "High noon" (1997)
• MW068 - Dr Octagon : "3000" (1996)
• MW069 - U.N.K.L.E. : "Berry meditation" (1997)
• MW084 - Dj Shadow : "Camel bob sled race - Q-Bert mix" (1997)
• MW087 - Dj Shadow : "What does your soul look like remixes" (1997)
• MW??? - Dj Shadow : "Midnight in a perfect world" (12" import U.S., 1997)
• MW116 - Psychonauts : «Hot blood/Invading space» (Mo'Wax/Source, 1999)
"Eh eh. Ce maxi a deux visages: en 33 tours, on nage en plein funk trippé downtempo, bien lourd et psychédélique, mais en 45 tours, on découvre deux morcaux qui n'ont plus rien à voir avec leur version lente!" (Lire la chronique complète)
• MWV001 - Beans : «nude paper/Star kille» (75 Ark/Mo' Wax/Source, 2000)
"Cool. Un maxi à rendre fou les responsables de rayon en magasins. «Nude paper» est en fait un extrait de l'album «Tragic epilogue» du collectif Anti-Pop Consortium, sorti ces jours derniers en import sur nos terres." (Lire la chronique complète)

Discographie Ninja tune:
Ninja Tune albums :
• ZEN14 - 9 Lazy 9 : "Electric lazyland" (1994)
"Un petit album qui présage déjà d'un son Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN15 - Ninja Cuts Vol. 1 : "Funkjazztical tricknology" (1995)
"La première compile du meilleur de Ninja Tune avec tout le gratin" (Lire la chronique complète)
• ZEN16 - London Funk Allstars : "London funk volume 1" (1995)
"Basés à Londres, ces derniers veulent donner une grande claque au genre hip hop en donnant la version londonienne de la chose" (Lire la chronique complète)
• ZEN17 - Funki Porcini : "Hed phone sex" (1995)
"Le nom résume à lui seul l'intention et les tenant de Funki Porcini : sex, drogue et trip hop" (Lire la chronique complète)
• ZEN18 - The Herbaliser : "Remedies" (1995)
"Posologie: boucles hypnotiques, samples triturés, ambiance jazzy, percussions, claviers, un mg de voix, trompettes, et 3 tonnes de grooves ensorcelants" (Lire la chronique complète)
• ZEN19 - Up, Bustle & Out : "One colour just reflects another" (1995)
"Leur concept novateur dans le genre : mettre en relation directe de la littérature (anglaise et espagnole) et de la musique ultra funk matinée d'une multitude de signaux éthniques différents" (Lire la chronique complète)
• ZEN20 - Dj Food : "A recipe for disaster" (1995)
"Écouter un album du collectif Dj Food, c'est un peu comme se retrouver dans les cuisines du Hilton avec les Marx Brothers en chef d'orchestre" (Lire la chronique complète)
• ZEN21 - Dj Food : "Refried food" (1995)
"Un album entier de remixes fait par des gens qui n'officient pas forcément chez Ninja Tune : en voilà une idée qu'elle est bonne!" (Lire la chronique complète)
• ZEN22 - Ninja Cuts Vol. 2 : "Flexistentialism" (1995)
"Le meilleur du best of de la crème de Ninja Tune : c'est ainsi qu'on aurait pu entendre ce slogan, si cher aux artistes type Sylvie Vartan, retentir pour présenter Ninja Cuts Vol.2" (Lire la chronique complète)
• ZEN23 - Funki Porcini : "Love, pussycats & carwrecks" (1996)
"Ça sent toujours les hormones d'ados mais c'est beaucoup mieux construit" (Lire la chronique complète)
• ZEN24 - London Funk Allstars : "Flesh eating disco zombies vs the bionic hookers from Mars" (1996)
"Un titre parfait pour une B.O. imaginaire d'un film d'aventure dans la grande ville" (Lire la chronique complète)
• ZEN25 - Dj Vadim : "U.S.S.R. repertoire" (1996)
"Le trip hop ultra mou de Dj Vadim rend, cet album qui pourrait ne pas être si mal, soporifique" (Lire la chronique complète)
• ZEN26 - Cold Krush Cuts : "A 60 minutes remix of Ninja tunes back & front catalogue by Coldcut & Dj Food / by Dj Krush" (1996)
"Encore une idée qui fait son chemin : une compile de remixes sublimes des back et front catalogues de Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN27 - Up, Bustle & Out : "Light'em up, blow 'em out" (1997)
"El senor Rudy, aprés avoir tourné un certain temps à travers le monde, revient avec des images pleines de couleurs dans la tête" (Lire la chronique complète)
• ZEN28 - The Herbaliser : "Blow your headphones" (1997)
"Imaginez que l'on vous propose un voyage dans un vaisseau spatial style Star Trek Enterprise, confiné dans une pièce où pousseraient toutes sortes d'herbacés illicites" (Lire la chronique complète)
• ZEN29 - Amon tobin : "Bricolage" (1997)
"Le brésilien de Brighton n'en est pas à son premier coup dans le monde du trip hop expérimental puisqu'il officiait déja sous le nom de Cujo" (Lire la chronique complète)
• ZEN30 - Coldcut : "Let us play" (1997)
"Un album dub, trip hop, hip hop, breakbeat plein d'humour et de slogans écolos pas si bêtes" (Lire la chronique complète)
• ZEN32 - Animals On Wheels : "Designs and mistakes" (1997)
"Il n'existait, jusque là, pas d'album jungle chez Ninja Tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN33 - Ninja Cuts Vol. 3 : "Funkungfusion" (1998)
"Ce coup-ci, on découvre surtout une structure qui a grossit grâce à l'arrivée de deux sous-labels de Ninja Tune : Ntone et Big Dadda records" (Lire la chronique complète)
• ZEN34 - Kid Koala : "Carpal Tunnel Syndrome" (2000)
"Du scratch, du bonheur, du hip hop, du mix incredible, des yukulélés, des seins, des plages, de l'humour, du n'importe quoi comme on en voudrait souvent, des canards dopés aux acides mous, du delirium, Casimir en slip marron framboise, des dessins, du ninja, du tune, du Ninja Tune..." (Lire la chronique complète)
• ZEN35 - Chocolate Weasel : "Spaghettification" (1998)
"Que cela soit par le trip hop psyché ou par les morceaux electro jazz funk, Chocolate Weasel prend 5 bon points avec cet album qui vous laissera al dente pour une bonne teuf ou pour aller au pieu" (Lire la chronique complète)
• ZEN36 - Amon Tobin : "Permutation" (1998)
"Vous aimez la musique qui fait vlic vlac boum sur fond de titi titi titi shou pâ ba pendant que des cuivres font fiououou ou ou?" (Lire la chronique complète)
• ZEN37 - The Clifford Gilberto Rhythm Combination : "I was so young and I needed the money" (1998)
"Imaginez que vous filiez vos vinyles de Mingus ou de Herbie Hancock (période ultra funk) à un garçon qui fait de la jungle ou du Break beat sous Guronsan" (Lire la chronique complète)
• ZEN38 - The Irresistible Force : "It's tomorrow already" (1998)
"tout ça pour dire que c'est peut-être à cause de ça que Céline (Dion) n'a jamais fait de la jungle ambient chez Ninja tune" (Lire la chronique complète)
• ZEN39 - Coldcut : "Let us replay" (1999)
"Des grands moments à écouter presque comme un nouvel album si ce n'est qu'ici, ce sont les futurs stars de Ninja Tune qui s'éxercent à l'art de leurs maîtres" (Lire la chronique complète)
• ZEN40 - Funki Porcini : "The ultimately empty million pounds" (1999)
"La musique soft jazzo 007 d'ascenceur convient plus aux innombrables clones de Portishead qu'à un groupe supposé exploser mes neurones" (Lire la chronique complète)
• ZEN41 - The Herbaliser : "Very Mercenary" (1999)
"album quui va devenir plus indispensable que le silence pour vos oreilles" (Lire la chronique complète)
• ZEN42 - Mr Scruff : "Keep it unreal" (1999)
"Alors que vient faire ce disque pour dance-floor sur le label?" (Lire la chronique complète)
• ZEN43 - Dynamic syncopation : "Dynamism" (1999)
"Du hip hop qui se la pète en restant cool but easy..." (Lire la chronique complète)
• ZEN44 - Dj Vadim : "Life from the other side" (1999)
"Quoiqu'il en soit, Dj Vadim est un grand Dj Hip hop qui a su garder ce qu'il avait de bon dans sa musique, y ajoutant un je ne sais de plus lourd dans les productions qui les rendent plus «bouge la tête» que jamais" (Lire la chronique complète)
• ZEN45 - Cinematic Orchestra : "Motion" (1999)
"Dans la même veine modern-Jazz qu'un Amon Tobim, Cinematic Orchestra nous livre de la musique live sur batterie, basse, saxophones trompette et claviers." (Lire la chronique complète)
• ZEN46 - Up Bustle & Out : «Master sessions 1» (Ninja Tune/P.I.A.S., 2000)
"Disons qu'il est tellement tombé amoureux de cette musique cubaine qui a envahi nos ondes que ces jam sessions lui ont donné plein de matière à malaxer, pour en faire ces breakbeats funky en diable et hors de toutes catégories" (Lire la chronique complète)
• ZEN47 - Dj Food : "Kaleidoscope" (2000)
"4 accords de flûtes à la Herbie Mann décuplées à l'infini et DJ Food nous créé des variations chromatiques impressionnistes, toutes droit sortie d'un Debussy." (Lire la chronique complète) "Plutôt que de rester dans la pénombre et dans l'austérité de beats brutes, DJ Food plonge dans la kitsch 60'. Comme s'il avait découvert un passage au bout du tunnel incertain de l'électro et de l'abstract hip-hop, xylophones scintillants et cuivres colorés prennent place." (Lire la chronique complète)
• ZEN48 - Amon Tobin : "Supermodified" (2000)
"Le brésilien Amon Tobin a définitivement fini de s'imposer sur la scène jungle avec ce quatrième album parfait."(Lire la chronique complète)
• The Herbaliser Band : «Session one» (Departement H/P.I.A.S., 2000)
"être expert en sampleurs, scratcher comme un Invisbl Scratch Pickl, fabriquer des boucles imparables et y intégrer des rappeurs de choix, c'est une chose, mais transposer tout ça sur scène alors que les rappeurs en question poursuivent leur carrière de leur côté en est une autre." (Lire la chronique complète)
Sous-label NTONE :
• NTONECD33 - Flanger : "Templates" (1999)
"Comme son nom l'indique, Flanger est un groupe qui passe d'une oreille à l'autre en insistant un peu plus sur le cerveau!" (Lire la chronique complète)
• NTONECD36 - Animals On wheels : "Nuvoli cadira" (2000)
"vous vous souvenez pas d'avoir eu un petit chien-chien ou une giraffe à roulette dans votre prime jeunesse? Et bien si vous n'avez pas perdu votre curiosité de môme, Animals on Wheels vous fera revivre à coup sur ces souvenirs merveilleux d'entant où tout paraissait si grand et si étrange." (Lire la chronique complète)
• NTONECD33 - Flanger : "Templates" (1999)
"Comme son nom l'indique, Flanger est un groupe qui passe d'une oreille à l'autre en insistant un peu plus sur le cerveau!" (Lire la chronique complète)
• NTONECD43 - Hexstatic : "Rewind" (2000)
"
Saurai-je seulement décrire quelle vision on pourrait gagner de la vie si l'on écoutait Hexstatic dans les rues? Production complice du Coldcut crew, "Rewind" est une empreinte digitale de Ninja Tune." (Lire la chronique complète)
Ninja Tune Singles :
• ZEN1242 - Up, Bustle & Out : "The dance of the caravan summer E.P."
• ZEN1248 - Coldcut : "Atomic moog 2000"
• ZEN1250 - Funki Porcini : "Let's see what Carmen can do"
• ZEN10kk - Kid Koala : «Scratchhappyland» (Ninja Tune/P.I.A.S., 1997)
"Make 5 or 6 cucumber sandwiches, remove the krust and arrange them attractively around the album. Place your turntable on front of your guests. If the sandwiches fly off the turntable, it is set at the wrong speed, in which case you and your guests will be eating much faster than usual" (Lire la chronique complète)
• ZEN1258 - Coldcut : "More beats and pieces"
• ZEN1265 - Coldcut : "Timber"
• ZEN1275 - East Flatbush Project : "Tried by 12"
• ZEN1278 - The Herbaliser : "Road of many signs" (1999)
• ZEN1281 - The Herbaliser : "The missing suitcase" (1999)
• ZEN1287 - Up Bustle & Out : «Hip hop barrio» (Ninja Tune/P.I.A.S., 1998)
"Premier extrait du premier volume (d'une série de deux) des «Master sessions» de Up, Bustle & Out enregistrées à La Havane et mises en boîte à Bristol, «Hip hop barrio, who's gonna take the weight» est en fait un joli maxi à ne pas confondre avec un mini-album 7 titres." (Lire la chronique complète)
• ZEN1292 - Amon Tobin : "Slowly" (2000)
"Le brésilien Amon Tobin a définitivement fini de s'imposer sur la scène jungle avec ce quatrième album parfait."(Lire la chronique complète)
• ZEN1093 - Kid Koala : «Emperor's main course in cantonese» (Ninja Tune/P.I.A.S., 2000)
"A partir du thème de «The last emperor» écrit et interprèté par David Byrne (ex-Talking Heads, boss du label Luaka Bop), Kid Koala réalise une ballade hip hop enivrante et un tant soit peu déstructurée aux champignons noirs." (Lire la chronique complète)

• Old School vs New School (Jive Electro/Virgin, 1999)
"Dans la série 'ça commence bien et puis ça part en eau de boudin', le projet le plus mal abouti de l'année" (Lire la chronique complète)

Discographie Parliament:
• The Parliaments : "I wanna testify, a historic compilation of vintage soul" (1970-72)
"On n'entend ici les prémices du P-funk" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Osmium" / "Rhenium" / "First thangs" / "The early years" (1970)
"Fun, psychédélique, soul, country, funk, gospel, rockabilly, acid-rock, tout se mélange pour arriver à un funk comme aucun autre" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Up for the down stroke" (1974)
"Du P-funk plus commercial, donc, mais qui reste bien extra-terrestre en comparaison avec ce qui se fait sur le reste de la planète" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Chocolate city" (1975)
"Là, c'est simple, ce disque est commercial" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Mothership connection" (1975)
"Les extra-terrestres veulent nous voler notre funk ("Unfunky UFO"), Parliament leur envoie cette bombe non-identiée" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "The clones of Dr Funkenstein" (1976)
"Le concept est globalement le même qu'avec "Mothership connection", en plus léger, peut-être même plus commercial" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Funkentelechy vs the placebo syndrome" (1977)
"Cet album est absolument essentiel, au même titre que Mothership connection" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Live / P-Funk earth tour" (1977)
"En fait "Give Up The Funk" et "Cosmic Slop" (monstrueux) ont été enregistrés dans un hangar d'aviation en 1976" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Motor-booty affair" (1978)
"L'album concept à la fois le plus drôle et le plus cohérent du groupe" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Gloryhallastoopid (or, pin the tail on the funky)" (1979)
"Bof. Un peu trop disco" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Trombipulation" (1980)
"Cet album est mauvais, pour du Parliament" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Tear the roof of 1974-80" (1974-1980)
"Cette compilation manque de cohérence chronologique, mais contient la majorité des titres essentiels de Parliament" (Lire la chronique complète)
• Parliament : "Give up the funk, the best of" (1974-1980)
"Autant acheter ça plutôt que Trombipulation" (Lire la chronique complète)
• Parliament / Funkadelic : "Live 1976-93" (Jap., 1993)
• Parliament / Funkadelic : "Greatest hits live 1972-93" (U.S., 1993)
• Parliament / Funkadelic : "Live 1976-93" (1993)
"Le Japonais a un meilleur son que les deux autres. Je vous conseillerais donc plutôt celui-là d'abord, vu son prix, et les deux autres en complément, après. Sinon, c'est de la bombe!" (Lire les chroniques complètes)

• Lee 'Scratch' Perry : "Arkology" (3 CD, Island, 1975-1979)
"3 CD que l'on arrive facilement à trouver pour à peine plus de 150F, pour une collection de 52 productions signées Lee Perry (ça s'entend surtout), dont seulement 20 crédités à Lee Perry lui-même ou à son groupe, les Upsetters" (Lire la chronique complète)

• "INCredible Sounds of GILLES PETERSON" (Inc.redible/Sony, 2000)
"Certes Gilles Peterson -patron du défunt label TALKING LOUD, et «iniateur» de la vague Acid Jazz du début des années 90's- a du goût et du talent, mais cette sélection des perles de sa discothèque perso est évidemment subjective, et MOI simple auditeur de salon, je ne comprend pas toujours où il veut en venir avec plusieurs titres plutôt décalés." (Lire la chronique complète)

Discographie P-Funk All-Stars:
• P-Funk All Stars : "Live at the Beverly theatre in hollywood" (1983)
"Si cet enregistrement live ne déclenche chez vous aucune inclinaison aux déhanchements, rien ne le fera" (Lire la chronique complète)
• George Clinton & the P-Funk All Stars : "Live... and kickin'" (1997)
"On trouve ici la grande majorité des méga-bombes de la p-funk crew, soit une sorte de compil' best of en public" (Lire la chronique complète)
• George Clinton & the P-Funk All Stars - Bataclan, Paris, 02 Février 1998"
Et quand, vers la fin, Clinton a laissé la scène au groupe et en particulier à Michael Hampton pour un Maggot Brain de feu, c'était un final psychédélique proche de celui d'un feu d'artifices" (Lire la chronique complète)
• George Clinton & the P-Funk All Stars : "Funk um agin... for the first time"(Live in L.A. 1989, Funkworks/Night & Day, 2CD)
"Muthafuckin' stylin' masta George Clinton bastonne et détonne. Quiconque a assisté à un concert du gourou de l'internationale du funk sait à quoi s'en tenir: au moins trois heures de funk halluciné, pas loin d'une vingtaine de musiciens sur scène en rotation constante (prête-moi ta basse, y a Bob qui veut essayer ma gratte - t'as qu'à chanter en attendant), un groove métallique à faire trembler les murs du Pentagone, et un son extra-terrestre."(Lire la chronique complète)• Drugs : "A prescription for Miss America" (Kraked/Discograph, 2002)
"Amis lutins, je m'adresse aussi à vous. Le psychédélisme avancé est de votre ressort?"(Lire la chronique complète)

• Prince Paul : "Psychoanalysis [What is it?]" (Wordsound, 1996)
"Mr le fou se met au travail tout de suite et finit par écrire la suite funky electro hip hop rap de Three feet high and rising" (Lire la chronique complète)
• Prince Paul : "Prince among thieves" (Tommy Boy/P.I.A.S., 1999)
"Il y a du concept dans mes cornflakes et du hip hop dans mon caleçon..." (Lire la chronique complète)

• Public Enemy : "He got game" (Def Jam/Polygram, 1998)
"Terminator X continue à faire tourner ses samples avec un talent démoniaque et Chuck D et Flavor Flav' submergent cet album-B.O. de leur flow si particulier qu'il est difficile de savoir si ces gens ont encore progressé ou pas" (Lire la chronique complète)

• Finley Quaye : "Maverick a strike" (1997)
"Passées les trois-quatre écoutes, on se rend compte qu'il ne s'agit en fait que d'un disque de pop-reggae banal, plutôt agréable, mais rien de bien nouveau" (Lire la chronique complète)

• Rakim : "The 18th letter - The book of life" (Universal, 1998)
"Tournons-nous donc joyeuseument vers le présent en regardant d'un air absent et surtout distant ce qui s'y passe : écoutons le nouveau Rakim" (Lire la chronique complète)
• Rakim :"The master" (Universal, 2000)
"Pas facile de se souvenir des premiers pas de Rakim dans le monde du rap, c'est pas que c'est vieux mais ça ne date pas d'avant-hier. Surtout que le garçon fait partie des fondations inébranlables de l'art hip hop, ayant fait partie des premiers rap heroes, revenant deux ans après son grand retour, confirmant encore son talent particulier pour la surprenance, voir même la surprise." (Lire la chronique complète)

• The Roots – "Things fall apart" (Universal,1999)
"N'allez toutefois pas croire que toute musique est un art, bien au contraire : il est plus rare de tomber sur des gens qui servent la musique que sur ceux qui s'en servent. Voilà peut-être pourquoi les Roots reste le groupe de rap américain le plus sensé que cette putain de planète ai porté" (Lire la chronique complète)
• The Roots : «Come alive all access» (MCA/Universal, 1999)
"Roots ta baga... Hum, hum,... vous l'attendiez depuis tellement longtemps que vous aviez oublié de changer de chaussettes et les voilà, tout frais d'un album live comme on osait même plus le réver... Avec l'excellent Rahzel en plus, ce qui rappellera plein de bons souvenirs à tout ceux qui ne pouvaient pas s'empècher d'être accros aux scratchs buccauxs... et pour le coup, on s'assoie deux minutes et on commente." (Lire la chronique complète)

• Busta Rhymes : "Extinction level event" (Elektra/East/West, 1999)
"Sous ses airs de dreadlocké qui se serait un peu oublié sur la fume, le sieur Busta en balance bien plus qu'une mitrailleuse d'Aliens (l'épisode où Ripley se prend pour Sigourney Weaver)" (Lire la chronique complète)

• RZA : "As Bobby Digital in stereo" (Wu Tang/V2, 1998)
"Le producteur, rappeur et réalisateur New-Yorkais vient donner un échantillon de son talent en solo et ça marche mortel" (Lire la chronique complète)
• The RZA : «Ghost dog - The way of the samuraï» (Pan/P.I.A.S., 1998)
"RZA, perpétuel producteur renommé du Wu Tang, signe ici de la pointe de son home studio (si l'on se fie à la qualité sonore...) une B.O. hip hop façon Krush" (Lire la chronique complète)

• Sergent Garcia : "Un poquito quema'o" (Labels/Virgin, 1999)
"I'm a latin looser... et c'est sûrement pour ça que je suis content de découvrir une signature française de reggae latino dub salsa : Sergent Garcia" (Lire la chronique complète)

• Ananda Shankar (Reprise/WEA, 1970)
"Les reprises de "Jumpin' Jack Flash" et "Light my fire" valent le détour par la case 'c'est débile, c'est excellent', irrésistibles au troisième degré" (Lire la chronique complète)

• The Ska-talites : "Fondation ska" (Heartbeat, 1964-65)
"Au total 32 'authentic ska hits', et même si les gros tubes "Guns of Navaronne", "Ball of fire" et les superbes "Magic star" et "Dr Ring Ring" sont absents, on ne trouvera pas ici de sucreries jazzy-pop ou de ballades chialardes, que du pur ska roots, avec d'excellents notes de pochettes et un son pour la première fois clair et propre" (Lire la chronique complète)

• Sierra Maestra : "Tibiri tabara" (World Circuit, 1997)
"Sierra Maestra est le plus grand groupe de 'son', musique traditionnelle cubaine qui explosa à La Havane dans les années 20." (Lire la chronique complète)

• Skye presents The Breaks : «Original B Boy street Funk & Block Party classics» (Harmless, 2000)
"Le jeu de la semaine... Original B Boys de tous poils et de toutes confessions, voilà un cd pour vous: amusez-vous donc à découvrir qui a pillé les 12 titres originaux qui jonchent ce petit bijou de l'histoire du funk dans le hip hop." (Lire la chronique complète)

• Slum Village : «Fantastic vol.II» (Source/Virgin, 2000)
"Etabli à Londres, Source U.K. peut s'enorgueillir d'avoir signé un excellent groupe américain (pas banal!): Slum Village. Les trois lascars font partis de cette jeune vague qui a écouté le Native Tongues au début des années 90 et qui a à cœur de remettre le rap tranquille au goût du jour." (Lire la chronique complète)

• Sly & Robbie Drum'n'bass : "Strip to the bone by Howie B." (Palm pictures/Virgin, 1999)
"Les amateurs de drum'n'bass inspirée sons bien de chez roots seront heureux d'apprendre la sortie d'un album de Sly & Robbie, section rythmique universelle du genre dub, produit par Howie B., jeune talent de la jungle drum'n'bass ambiant ayant fait ses armes chez Mo' Wax : tout un programme" (Lire la chronique complète)

Discographie Sly & The Family Stone:
• Sly & the Family Stone : "A Whole New Thing" (Legacy/Epic/Import US, 1967)
"sorti en 1967, n'a pas encore atteint les sommets à venir, et reste très soul, pas encore vraiment funk" (Lire la chronique complète)
• Sly & the Family Stone : "Life" (Legacy/Epic/Import US, 1968)
"Avec le recul, on se dit que tous les éléments sont là, en place, mais que le résultat n'est pas encore abouti" (Lire la chronique complète)
• Sly & the Family Stone : "Dance to the music" (Legacy/Epic/Import US, 1968)
"Ça y est. Le mix de rock, jazz, blues et de soul prend. Personne n'a encore entendu ÇA" (Lire la chronique complète)
• Sly & the Family Stone : "Stand!" (Epic/Sony, 1969)
"Totalement indispensable : le plus pychédélique des albums de Sly & the Family Stone, tout simplement" (Lire la chronique complète)
• Sly & the Family Stone : "There's a riot goin' on" (Epic/Sony, 1971)
"Ceux qui cherchent un bon funk black bien FONK penseront s'être trompés de disque. Pourtant le FONK est bien là, lourd, suintant, bluesy mais pas du tout sexy et fun comme sur les précédents albums" (Lire la chronique complète)
• Sly & the Family Stone : "Fresh" (Epic/Sony, 1973)
"Sly change encore de direction musicale et effectue un retour à 180° vers un FONK ultra-syncopé encore inégalé à ce jour" (Lire la chronique complète)

• Rob Swift : "The ablist" (Asphodel, 1999)
"Bon, bien sûr il faut aimer les collages de scratches impossibles et barrés, mais Rob Swift enfonce ici le clou de l'album de hip hop du Dj qui tue avec… des mélodies!" (Lire la chronique complète)

• Trojan Dub Box Set : "Limited edition 3 CDs" (Trojan, 1999)
"Dans la série 'les bonnes compiles pas cher pour découvrir des trucs et aller choper les albums après', voici le coffret dub de chez Trojan, le label de reggae roots, la base" (Lire la chronique complète)

Discographie Ubiquity Records:
• Bobby Matos : "Live at Moca" (Cubop/Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Pour le genre musical, reprenons la formule consacrée au centre de la pochette qui définit le groupe comme un "Afro Latin Jazz Ensemble"… J'ajouterai "Mambo" mais c'est tout de suite moins classe: Afro Latin Jazz Ensemble Mambo" (Lire la chronique complète)
• P'Taah : «Compressed light» (Ubiquity/Night & Day, 2000)
"Un album animé de grandes i'dééhs... et vous en aurez pour votre argent, croyez-nous... Si le sobriquet onomatopesque de cet artiste vous laisse perplexe, peut-être qu'Ubiquity vous raffraichira la mémoire..." (Lire la chronique complète)
• Presage : "Outer perimeter" (Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Trip hop en diable... Nosferatu, Belzebuth, Astaroth et autres démons de l'enfer vont être ravis: Presage annonce l'arrivée imminente des 13 chevaliers de l'apocalypse: ça va twister dans les chaumières." (Lire la chronique complète)
• T-Cisco : "The destructive edit" (Ubiquity/Night & Day, 1999)
"Le don d'ubiquité c'est de pouvoir se retrouver à différents endroits au même moment... et donc de faire plusieurs choses en même temps: mais ne vous méprenez pas car il ne s'agit pas de descendre un escalier en machant un chewing-gum au poivre, non, non, il s'agit de bien autre chose: il s'agit de jouer de tellement d'instruments qu'on peut faire un album quasi-ment seul." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Subjugués par les sets Latinaires de Beatless -Alex Attia de Catalyst, Bel Air et Paul Martin de Talkin Loud- qui sévissent à Londres, Ubiquity demandent, fin 1998, à plusieurs producteurs spécialistes du clubbing, d'extraire ce que les musiques latines font de plus efficace pour les dancefloors"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires 2" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Ubiquity propose avec ce 2ème volet des "New Latinaires" de nouveaux itinéraires pour de nouvelles latitudes latines"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "The new latinaires 3" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"A croire que Ubiquity suit désormais à la trace Gilles Peterson: le label de San Francisco a décidé de surfer sur la vague worldwide"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "No Categories" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"En voilà une compilation qu'elle est bien pensée. 2 disques: un premier pour inviter des artistes trop rarements réunis alors que complémentaires comme Thievery Corporation et Rainer Trüby, et un second réservé aux gens du crew West Coast: Up Bustle & Out, Mr Scruff ou Skyjuice"(Lire la chronique complète)
• Various Artists : "No Categories 2" (Ubiquity/Discograph, 2002)
"Qu'il s'agisse du 2ème volume des "New Latinaires" ou de ce "No Categories 2", on observe désormais le même recours exclusif aux artistes maison. Plus de Ninja, ni de Compost dans l'escarcelle; que des sociétaires de Ubiquity, Cubop ou Luv N'Haight"(Lire la chronique complète)

• Ugly Duckling : « Fresh mode » (Bad Magic/P.I.A.S., 1999)
"Rien n'ennuie et pas de copie: juste de bons vieux sons "old school but fresh" et des flows à l'ancienne qui rendent directement hommage à De La Soul, Run DMC ou l'ami Chuck D" (Lire la chronique complète)

• Ulu : "Ulu" (Neva Recordings, 1998)
"Ulu viennent de New York et font partie de ce qu'on appelle la «New Groove Generation», autrement dit un mix de la troisième génération de jam bands et de jazz/funk à la Herbie Hancock." (Lire la chronique complète)
• Ulu : "Live at Wetlands Preserve NYC" (Phoenix presents, 1999)
"Oulala Ulu en live c'est bien plus impressionnant qu'en studio! Toujours exclusivement instrumental, Ulu jouent, improvisent et leurs jams et chorus sont vraiment très bons. Dans la lignée des groovemeisters Medeski Martin & Wood et des Greyboy Allstars, leur mix de jazz, funk et d'expérimentations plus freeform se rapproche de ce qu'on pourrait appeler de «l'impro organisée»." (Lire la chronique complète)

• Urban Dance Squad : "Artantica" (Virgin, 1999)
"Des guitares blues-rock, des beats de hip hop, de la basse comme il faut et du rap à la hollandaise en anglais dans le texte : Urban Dance Squad continue à plaire sans trop surprendre" (Lire la chronique complète)

• Various Artists : "Ain't no funk like N.O. funk" (Bullseye/Import U.S., 1998)
"L'écoute de ce disque vous convaincra au moins d'une chose: on sait jouer le funk en Louisiane." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Barrio Nuevo" (Soul Jazz, 2000)
"Et celle-là, vous la connaissez? C'est Jean-Paul II qui harangue la foule du balcon de la place Saint Pierre: «Peuple du Vatican, ne vous vautrez plus dans le stupre et la luxure, cessez immédiatement de danser la salsa! Salsa no, trabajo si!»" (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Right on! - Breakbeats & groove from the Atlantic & Warner vaults 1967-1975"
"Plutôt habitués à découvrir le breakbeat et les morceaux rares dans des compiles vinyles anglaises très underground ou dans des collections privées et prisées, beaucoup de soundtrackers seront ravis de trouver "Right on!" dans les bacs des disquaires traditionnels." (Lire la chronique complète)
• Various Artists : "Sofistifunk - Jazz rock club classics" (Irma/Night & Day, 1999)
"Le label Irma Records déjà reconnu pour ses 4 volumes de "Groovy!" continue son odyssée de la réédition avec 10 morceaux de choix orientés vers la mouvance Fusion." (Lire la chronique complète)
• Various Artists:"Still/The joint - Sugarhill remixed" (Sugarhill/Castle/PIAS, 1999)
"Passons vite sur la verson CD pour évoquer le superbe et classieux coffret 4 vinyles de remixes de titres du label séminal de hip hop roots Sugarhill: à 130 balles (environ), voilà une bombe lachée sur vos bacs préférés à ne pas laisser exploser entre toutes les mains." (Lire la chronique complète)

• Voo Doo Phunk : "Lionize" (Irma Molto Jazz, 1999)
"La base est toujours magnifiquement montée en sauce et fait saliver les oreilles jusqu'à cette voix dont on finit par faire abstraction pour peu que l'on ait les oreilles d'Homer S." (Lire la chronique complète)

• Les X a.k.a: X-Men : "Jeunes, coupables et libres" (Universal, 1998)
"Les productions sont un peu en-dessous de tout ce qu'on avait entendu jusqu'ici. En définitive, il y a un seul intérêt à écouter l'album des X : le flow et les paroles des deux lascards que sont Ill et Cass" (Lire la chronique complète)

• Tom Zé : «Con defeito de fabricação» (Luaka bop/Virign, 1998)
"Ce n'est pas étonnant que David Byrne (ex-leader des incroyables Talking Heads, boss du label Luaka Bop) aime cet espèce de Zappa brésilien minimaliste: c'est typiquement le genre de mélange conceptuel situé sur sa longueur d'onde" (Lire la chronique complète)



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